Stress et anxiété chroniques : comprendre et apaiser avec une approche neuroplastique

Mis à jour le 24 septembre 2025

Le stress et l’anxiété touchent une part considérable de la population française. En fait, l’anxiété généralisée constitue le trouble anxieux le plus courant, affectant entre 5% et 8% de la population. D’ailleurs, les femmes sont deux fois plus touchées que les hommes, surtout après 40 ans. À partir de cet âge, une femme sur dix est concernée. [1]

Cependant, ce qui rend ces troubles particulièrement épuisants, c’est leur capacité à s’infiltrer dans tous les aspects de la vie quotidienne. Heureusement, lapproche neuroplastique offre une compréhension nouvelle des mécanismes du stress et de l’anxiété. Et surtout, elle propose des outils concrets et accesibles pour retrouver la sérénité.

Ainsi, l’approche neuroplastique s’adresse aux personnes, sujettes au stress et à lanxiété, déjà suivies médicalement et vise à reprendre du pouvoir sur ces symptômes grâce à l’éducation, la régulation du stress et des émotions, et surtout des outils concrets inspirés de la neuroplasticité, de la Pain Reprocessing Therapy et de l’EAET.

Important : mon coaching ne remplace pas un avis médical. En cas de nouveaux symptômes, d’aggravation ou de doute, je vous invite à consulter un professionnel de santé et à toujours poursuivre vos traitements.

Stress, anxiété, origine et approche neuroplastique

Ce que les personnes souffrant de stress et d’anxiété chroniques décrivent souvent

  • Inquiétudes persistantes qui tournent en boucle, particulièrement le soir au coucher
  • Tensions physiques : maux de tête, douleurs musculaires, sensations d’oppression thoracique
  • Troubles du sommeil : difficultés d’endormissement, réveils nocturnes, sommeil non réparateur
  • Symptômes digestifs : maux d’estomac, troubles du transit, sensation de « nœud » au ventre
  • Fatigue chronique malgré l’agitation mentale constante
  • Hypersensibilité aux bruits, à la lumière, aux stimulations externes
  • Évitement de certaines situations redoutées qui alimentent le cercle vicieux

En effet, ces manifestations sont courantes dans les troubles anxieux, où le système nerveux reste en état d’alerte permanent, et où les pensées catastrophiques alimentent l’activation physiologique.

« L’anxiété est une réaction normale qui devient une maladie lorsqu’elle survient alors qu’aucun événement ne la justifie vraiment. On parle alors de troubles anxieux, incompatibles avec la vie quotidienne. »

Source : Vidal [1]

Les différents visages du stress et de l’anxiété

Le stress aigu vs chronique

Le stress aigu survient après une émotion intense et brutale liée à un événement menaçant et soudain. C’est une réaction normale et adaptative du corps. Par contre, le stress chronique s’installe au décours d’une exposition répétée et durable à des sources de stress. [4]

Les troubles anxieux multiples

L’anxiété peut prendre plusieurs formes : anxiété généralisée, phobies, troubles paniques ou troubles obsessifs compulsifs (TOC). En fait, les troubles anxieux s’expriment de très nombreuses manières. Par exemple : selon l’histoire familiale et personnelle du souffrant, son hérédité, son imaginaire ou les causes des premiers épisodes d’anxiété.

Le syndrome d’épuisement professionnel (burnout)

Défini comme un « épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel ». Il se manifeste à travers trois dimensions. Premièrement, l’épuisement émotionnel, puis le cynisme vis-à-vis du travail, et enfin la diminution de l’accomplissement personnel au travail. [3]

Les hormones du stress et de l’anxiété : comprendre la chimie de nos émotions

Lorsque nous sommes confrontés au stress ou à l’anxiété, notre corps orchestre une véritable symphonie hormonale. En effet, au moins six hormones principales entrent en jeu dans cette réaction complexe. [9]

Premièrement, l’hormone ACTH qui stimule les glandes surrénales. Qui à leur tour sécrètent la fameuse deuxième et célèbre « hormone du stress ». C’est le cortisol, qui régule la tension artérielle, les fonctions cardiaques et immunitaires. De plus, il fournit au cerveau l’énergie suffisante pour se préparer face au stress. Cependant, en situation de stress chronique, le cortisol reste élevé. C’est alors qu’il manifeste alors son pouvoir anxiogène et dépresseur. Pour finir par entrainer une dégradation de la mémoire, des capacités d’apprentissage, ralentit les processus de guérison naturel. [6]

Troisièmement, l’adrénaline et la noradrénaline préparent l’organisme à la réaction « combat-fuite ». Par exemple avec : l’accélération du rythme cardiaque, l’augmentation de la pression artérielle et de la vigilance. Voilà pourquoi ces hormones sont libérées rapidement lors du stress aigu.

Quatrièmement, la dopamine, neurotransmetteur du plaisir et de la motivation. Elle peut être perturbée par le stress chronique, affectant notre capacité à ressentir de la satisfaction et à maintenir notre motivation.

Cinquièmement, l’ocytocine, hormone du lien social, agit comme régulateur naturel de l’anxiété.

Tandis que, sixièmement, la vasopressine joue un rôle important dans la gestion de l’anxiété et la régulation de la pression sanguine.

Notablement, l’approche neuroplastique agit directement sur cette cascade hormonale déréglée. En effet, la Pain Reprocessing Therapy (PRT) aide à réguler la production excessive de cortisol et d’adrénaline. A cette fin, elle désactive les fausses alarmes du cerveau, permettant aux glandes surrénales de retrouver un rythme naturel.

Par ailleurs, l’EAET favorise la libération d’ocytocine – l’hormone du lien social et de l’apaisement. Pour cela, elle permet l’expression des émotions refoulées qui maintenaient l’activation chronique du stress. Cette approche aide également à rééquilibrer la dopamine, restaurant progressivement la capacité à ressentir du plaisir et de la motivation, souvent émoussées par l’anxiété chronique.

Le système nerveux autonome : chef d’orchestre de nos réactions

Pour commencer, le système nerveux autonome (SNA) constitue le pilote automatique de notre corps. A ce titre, il orchestre toutes les fonctions vitales sans intervention consciente. Pour cela, il se divise en deux branches principales qui fonctionnent en équilibre délicat. [10]

Ensuite, le système sympathique représente l’accélérateur. Pour cela, il active la réponse de stress, augmente le rythme cardiaque, dilate les pupilles, et mobilise l’énergie pour faire face au danger. En cas de stress chronique, cette branche reste hyperactivée, maintenant l’organisme en état d’alerte permanent.

Enfin, le système parasympathique joue le rôle du frein. Ainsi, il favorise la récupération, la digestion, le sommeil réparateur et la régénération. C’est dans cet état que le corps peut véritablement se ressourcer et se réparer.

Focus : les chocs post-traumatiques (TSPT et PTSD) et l’accumulation de stress

Les troubles de stress post-traumatique (TSPT et PTSD) peuvent survenir après un événement traumatisant unique. Par exemple : accident, agression, catastrophe naturelle, ou perte brutale. Ainsi, ces chocs laissent une empreinte durable dans le système nerveux, qui reste hypersensible aux stimuli rappelant le trauma.

Cependant, il est crucial de comprendre qu’un traumatisme unique n’est pas nécessaire pour développer des symptômes similaires. En effet, l’accumulation de stress léger mais constant peut avoir le même effet dévastateur sur le système nerveux qu’un choc violent.

Cette « érosion émotionnelle » progressive peut résulter de :

  • Un environnement familial dysfonctionnel dans l’enfance
  • Des relations toxiques répétées
  • Un harcèlement professionnel prolongé
  • Une pression sociale constante
  • Des micro-traumatismes quotidiens

L’étude et le questionnaire ACE (Adverse Childhood Experiences) [7] révèlent d’ailleurs que les expériences négatives répétées dans l’enfance ont un impact cumulatif sur la santé mentale et physique à l’âge adulte. [8]

Source : Centers for Disease Control and Prevention ou CDC), la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique. La pyramide ACE représente le cadre de l’étude ACE, qui a révélé le lien étroit qui existe entre les expériences négatives vécues pendant l’enfance et divers facteurs de risque de maladie tout au long de la vie.

Les signaux d’alarme selon l’OMS

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, le stress peut se manifester par [2] :

  • Un sentiment de peur, d’inquiétude, une incapacité à se détendre
  • Une accélération du rythme cardiaque, des difficultés à respirer
  • Une perturbation des habitudes de sommeil
  • Une modification des habitudes alimentaires
  • Des problèmes de concentration
  • Une aggravation de problèmes de santé préexistants
  • Une consommation accrue d’alcool, de tabac et d’autres substances

L’impact physique du stress chronique, de l’anxiété (perspective psychophysiologique et neuroplastique)

Le stress chronique augmente le risque de développer certaines maladies cardiovasculaires (hypertension artérielle, hypercholestérolémie, infarctus), mais aussi l’asthme, le diabète de type 2 et les troubles de l’humeur (dépression). [4]

Comme l’explique le Dr Gabor Maté dans « When the Body Says No » [5], le stress chronique peut se manifester dans le corps par l’inflammation, la maladie et la douleur. Par exemple le stress déclenche facilement des maux de tête, du broullard mental, des problèmes de peau, des maux de ventre etc. [13] Pour conclure, ses recherches soulignent comment les émotions non résolues, et la pression continue, peuvent se refléter dans notre état physique.

Focus : les problèmes de peau liés au stress

La peau, notre plus grand organe, reflète fidèlement notre état émotionnel. Comme l’explique le Dr Gabor Maté dans « When the Body Says No » [5], le stress chronique peut se manifester dans le corps par l’inflammation, et la peau n’échappe pas à cette règle.

L’eczéma, le psoriasis, l’urticaire et l’acné peuvent tous être déclenchés ou aggravés par le stress. En effet, l’activation chronique de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien provoque une inflammation systémique qui se traduit souvent par des éruptions cutanées. [6]

La peau possède ses propres récepteurs au cortisol, et l’excès de cette hormone peut perturber la barrière cutanée, ralentir la cicatrisation et favoriser les infections. De plus, les habitudes liées au stress (grattage compulsif, manque de sommeil, alimentation déséquilibrée) aggravent encore ces manifestations.

L’approche neuroplastique reconnaît que ces problèmes de peau sont souvent le langage du corps pour exprimer le stress ou l’anxiété, et parfois une détresse émotionnelle non résolue. En travaillant sur la régulation du stress et l’expression des émotions, de nombreuses personnes voient leurs problèmes cutanés s’améliorer significativement.

Le lien stress-trauma-douleur chronique

Une revue récente a exploré les facteurs menant à la douleur persistante après une blessure musculo-squelettique. Les données ont conclu que la présence de symptômes de stress post-traumatique, la catastrophisation de la douleur, les croyances d’évitement de la peur et la dépression étaient des facteurs de risque significatifs pour ralentir la récupération et développer une douleur chronique.

Ces facteurs étaient similaires à ceux identifiés dans une revue précédente sur l’approche neuroplastique [11], qui avait identifié comme facteurs prédictifs l’anxiété (stress) et la dépression, l’évitement de la peur, et la perception du patient d’une douleur persistante.

Les traumatismes de l’enfance et leurs répercussions

Le questionnaire ACE (Adverse Childhood Experiences) révèle comment les expériences indésirables de l’enfance peuvent avoir des répercussions durables sur la santé mentale et physique à l’âge adulte. [7] En effet, ces traumatismes précoces peuvent programmer le système nerveux vers l’hypervigilance et l’anxiété chronique. [8]

Comment une approche neuroplastique peut soulager stress et anxiété

Premièrement, la PRT aide à rééduquer les circuits neuronaux de la peur et du danger. Ainsi, elle permet au système nerveux de retrouver un état de sécurité. Cette approche reconnaît que l’anxiété chronique résulte souvent d’un système d’alarme déréglé qui se déclenche même en l’absence de danger réel.

Deuxièmement, l’EAET permet de libérer les émotions refoulées et les traumatismes qui maintiennent l’état d’activation chronique. Cette thérapie reconnaît que l’anxiété peut être le symptôme d’émotions authentiques non exprimées, notamment la colère légitime.

Troisièmement, la méthode du Dr Weekes, pionnière dans le traitement de l’anxiété. A cette fin, elle propose une approche basée sur l’acceptation et le flottement plutôt que la lutte contre les symptômes anxieux. Sa méthode des « 4 F » (Face, Accept, Float, Let time pass) reste d’une efficacité remarquable et donne de très bons résultats également avec mes clients (et moi-même!).


Témoignage : retrouver votre paix intérieure (en conservant votre vivacité)

« Cela m’a permis de me reconnecter avec cette part souffrante de moi, et donc à une part de moi que je ne voulais pas voir. Je me sens plus unifiée, j’ai moins peur de la vie. »

Camille, 40-50 ans, troubles anxieux et douleurs diverses

« Ma kiné me dit qu’elle ne ressent plus aucune tension musculaire dans le dos alors que j’étais avant totalement ‘nouée’. En fait, je n’ai plus cette peur permanente de la crise et je suis entièrement décontractée et à l’aise. »

Nadège, 71 ans, anxiété et tensions

« Nous avons trouvé Victor en bien meilleure forme ces dernières semaines, plus joyeux, plus sociable et détendu, plus motivé, refaisant des projets. »

Victor, 16 ans, anxiété adolescente

Le piège de l’anxiété et comment s’en libérer

L’anxiété fonctionne comme un piège sophistiqué : plus nous luttons contre elle, plus elle se renforce. En effet, l’évitement des situations redoutées confirme au cerveau que le danger est réel, maintenant ainsi le cycle anxieux. [11]

Une clé réside dans l’acceptation paradoxale : accueillir les sensations anxieuses sans les combattre permet progressivement au système nerveux de se recalibrer vers la sécurité.

La gestion de l’hyperconnexion et du stress numérique

À l’ère du numérique, l’abus de la technologie devient une source majeure de stress et d’anxiété. Par exemple, la stimulation constante des écrans, les notifications incessantes et la surcharge informationnelle sont loin d’être anodines. En effet, tout cela contribue à maintenir le système nerveux en état d’activation. Par conséquent, abuser de technologie numérique active nos chemins neuronaux de l’hypervigilance et de la mise en état de stress.


Questions fréquentes sur le stress et l’anxiété (prisme neuroplastique)

Est-ce que mon stress est “juste psychologique” ?

Non. Le stress et l’anxiété sont des réponses neurobiologiques réelles. Ils impliquent hormones (cortisol, adrénaline), circuits de la peur et système nerveux autonome. La bonne nouvelle, c’est que ces circuits s’entraînent et se régulent.

Combien de temps pour ressentir des effets ?

Variable. Certains ressentent un apaisement en quelques semaines, d’autres ont besoin de 2 à 3 mois pour ancrer des changements durables. La régularité vaut plus que l’intensité.

Dois-je arrêter mes traitements ?

Jamais sans avis médical. Mon accompagnement se place en complément. Il vise la baisse de l’activation nerveuse et l’amélioration du vécu, tout en respectant la prise en charge en cours.

Et si j’ai vécu un traumatisme ?

C’est à prendre en compte avec douceur et progressivité. On travaille la sécurité d’abord, puis l’expression émotionnelle et la réintégration du vécu passé dans le présent, pour que le système d’alarme se réajuste sans submersion.

Un travail avec un psychologue peut être un excellent complément à l’approche neuroplastique. Plus de la moitié de mes clients ont consulté ou consultent un psy en parallèle de mon accompagnement.

Le travail et le numérique aggravent-ils mon anxiété ?

Souvent oui. Une des stratégies possibles consiste à mettre en place une écologie attentionnelle (plages sans notifications, respiration avant/après réunions, rituels de coupure, limites claires) pour restaurer des fenêtres de récupération.

Ensuite, le travail de fond sur vos ressentis et émotions, puis sur vos réactions peut s’effectuer.

Que faire pendant une montée d’angoisse ?

Surtout pas sans avis médical. En effet, l’approche neuroplastique vient en complément des traitements prescrits, permettant souvent de réduire progressivement les doses sous supervision médicale au fur et à mesure de l’amélioration.

Que faire pendant une montée d’angoisse ?

Essayez ceci. 3 gestes clés :

  • nommer ce qui se passe (je reconnais l’alarme),
  • allonger l’expiration (4-6 cycles),
  • élargir l’attention au corps et à l’espace (ancrage visuel et tactile).

Puis, si possible, revenir à l’action prévue, même mini.

L’approche neuroplastique est-elle adaptée au burnout ?

Oui, car elle cible l’épuisement du système d’alarme, la restauration du parasympathique et le réalignement des limites personnelles. On ajoute un plan de récupération graduée (sous supervision ou validation médicale).

Et si j’ai peur que ça ne change jamais ?

La peur fait partie du processus. On apprend à l’accueillir sans s’y soumettre, à reprendre du pouvoir par des micro-actions. Le système nerveux s’éduque par répétition et sécurité, pas par force. C’est comme aller à la salle de sport, mais pour votre mental.

Comment gérer l’incompréhension de mon entourage ?

L’éducation bienveillante de vos proches, l’appui de témoignages similaires et le soutien de professionnels formés peuvent considérablement aider. D’ailleurs, n’hésitez pas à partager des ressources éducatives sur le stress et l’anxiété et sur l’approche neuroplastique pour les aider à mieux comprendre.

📚 Définitions rapides – micro glossaire sur le stress et l’anxiété chronique (trouble neuroplastique)

  • Stress aigu : réaction normale et temporaire face à un événement menaçant
  • Stress chronique : état d’activation prolongé du système nerveux
  • Anxiété généralisée : inquiétudes excessives et persistantes sans cause identifiable
  • Troubles paniques : épisodes soudains de peur intense avec symptômes physiques
  • Phobies : peurs irrationnelles et évitement de situations spécifiques
  • TOC : pensées obsédantes et comportements compulsifs répétitifs
  • Burnout : épuisement professionnel physique, émotionnel et mental
  • TSPT : Trouble de Stress Post-Traumatique suite à un événement traumatisant
  • PSTD : Post-Traumatic Stress Disorder, acronyme anglais de TSPT
  • Hypervigilance : état d’alerte constant et excessif
  • Catastrophisation : tendance à imaginer le pire scénario possible
  • Évitement : stratégie consistant à fuir les situations redoutées
  • Somatisation : expression physique de la détresse psychologique
  • Troubles fonctionnels : symptômes réels sans anomalie structurelle identifiable
  • Approche neuroplastique : reconditionnement du système nerveux par éducation et outils pratiques
  • PRT : Pain Reprocessing Therapy, thérapie de reconditionnement de la douleur
  • EAET : Emotional Awareness and Expression Therapy, libération des émotions refoulées

Ce que je propose pour favoriser le rétablissement du stress et de l’anxiété (trouble neuroplastique)

💡 Psychoéducation – les bases

Comprendre les mécanismes neuroplastiques du SII, déconstruire les croyances limitantes, distinguer danger réel et fausse alarme.

🧘 Gestion du système nerveux et régulation émotionnelle

Outils de régulation du SNA, messages de sécurité, gestion du stress post-traumatique, libérer les émotions refoulées, réduire l’hypervigilance et sortir de l’évitement.

🧠 Outils PRT, EAET et approche du Dr Weekes

Cercle vicieux peur <-> symptômes, reconditionnement, sécurité intérieure, croyances fondamentales, exposition graduée, libération des émotions réprimées.

🚶 Désensibilisation progressive et reprise de vie

Pas à pas, retrouver le plaisir des relations, des rituels quotidiens nourrissants, vos activités physiques, la stabilité au travail.

🤝 Accompagnement personnalisé

🎁 Gratuit, pour vous :

  • ✅ L’auto-test « Souffrez-vous de stress d’origine neuroplastique ? »
  • ✅ Un guide PDF avec méthodes spécifiques pour le stress et l’anxiété chronique
  • ✅ Des conseils apaisants que je ne partage qu’avec mes inscrits

🔬 Mon cadre et mes engagements

Je m’appuie sur les dernières recherches scientifiques sur le stress et l’anxiété : approche neuroplastique, thérapies émotionnelles, gestion du stress post-traumatique et techniques de régulation du système nerveux.

🔬 Sources scientifiques clés

  • [1] Anxiété – symptômes, causes, traitements et prévention – VIDAL
  • [2] Quels sont les signes du stress – OMS
  • [3] Repérage et prise en charge cliniques du syndrome d’épuisement professionnel ou burnout – HAS
  • [4] Le Stress – Pour aller plus loin – Ameli – Assurance Maladie
  • [5] Livre du Dr Gabor Maté dans « When the Body Says No » – « Quand le corps dit non »
  • [6] Stress and Skin: An Overview of Mind Body Therapies as a Treatment Strategy in Dermatology – 2021 – Dermatology Practical & Conceptual
  • [7] Relationship of childhood abuse and household dysfunction to many of the leading causes of death in adults. The Adverse Childhood Experiences (ACE) Study – PubMed
  • [8] Étude ACE (Adverse Childhood Experiences)- Wikipedia
  • [9] Quelles sont les hormones liées au stress ? – Futura Science
  • [10] Anatomy, Autonomic Nervous System , 2023 – National Library of Medecine
  • [11] Étude – Guérir de troubles neuroplastiques chroniques comme l’anxiété est possible – Jama network 2023
  • [12] Quand consulter un médecin – Manuels MSD
  • [13] Voir plus d’études et d’analyses dans ma revue scientifique ici
  • [14] Comment le stress psychologique provoque-t-il des troubles digestifs ? – Inserm

⚠️ Quand consulter un médecin

Avant tout, il est important de consulter rapidement dans ces situations :

  • Idées suicidaires ou de mort récurrentes
  • Crises de panique répétées avec sensation de mort imminente
  • Évitement massif impactant le travail, les relations ou les activités
  • Consommation excessive d’alcool, médicaments ou substances
  • Insomnie sévère persistant plus de plusieurs semaines
  • Symptômes physiques inquiétants : palpitations, essoufflement, douleurs thoraciques
  • Dépression accompagnant l’anxiété
  • Troubles alimentaires liés au stress
  • Isolement social complet
  • Doute sur le diagnostic
  • Aggravation inhabituelle ou anxiété submergeante
  • Avant d’entreprendre toute approche neuroplastique

En cas d’urgence ou de symptômes alarmants, consulter immédiatement. Par ailleurs, un suivi médical permet d’écarter les causes secondaires et d’adapter l’accompagnement. [12]
En cas de détresse aiguë, n’hésitez pas à contacter le 3114 (numéro national de prévention du suicide) ou les services d’urgence.


🤸‍♂️ Faire le premier pas en sécurité

Si vous vous reconnaissez dans ces symptômes, sachez qu’il existe un chemin vers le rétablissement. En effet, l’accompagnement bienveillant, les outils neuroplastiques et une compréhension claire des mécanismes sont les clés pour sortir du cercle vicieux du stress et de l’anxiété chronique et généralisée.

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