Les douleurs pelviennes chroniques touchent une femme sur six et un homme sur dix [1], représentant une souffrance profonde et souvent incomprise (lorsque ne connait pas les approches neuroplastiques). En effet, cette condition persistante dans la région pelvienne, durant plus de 6 mois, affecte profondément la vie intime, sociale et professionnelle.
Cependant, ce qui rend ces douleurs pelviennes particulièrement déconcertantes, c’est que dans plus de 40% des cas, les examens ne révèlent aucune anomalie structurelle majeure [2]. Heureusement, les approches neuroplastiques offrent une compréhension nouvelle et des solutions concrètes.
Ainsi, l’approche neuroplastique s’adresse aux personnes déjà suivies médicalement et vise à reprendre du pouvoir sur ces symptômes grâce à l’éducation, la régulation émotionnelle et des outils inspirés de la neuroplasticité, de la Pain Reprocessing Therapy et de l’EAET.
Important : mon coaching ne remplace pas un avis médical. En cas de nouveaux symptômes, d’aggravation ou de doute, je vous invite à consulter un professionnel de santé et à toujours poursuivre vos traitements.

Ce que les personnes souffrant de douleurs pelviennes décrivent souvent [3] [4]
- Douleurs profondes dans le bas-ventre, le bassin ou la région génitale
- Symptômes qui isolent : physiquement, émotionnellement et relationnellement
- Douleurs pendant l’intimité (dyspareunie) créant de l’anxiété et de l’évitement
- Urgences urinaires fréquentes ou sensation de pression vésicale constante
- Douleurs cycliques liées aux règles, mais pouvant devenir constantes avec le temps
- Examens médicaux normaux ou non concluants malgré l’intensité des symptômes
- Fatigue chronique et troubles du sommeil associés
- Impact sur la santé mentale : anxiété, dépression, sentiment de solitude
Voilà pourquoi, les douleurs pelviennes peuvent sembler une lutte privée, mais elles n’ont pas à le rester (grâce aux approches neuroplastiques). Trop souvent, elles portent un fardeau caché de stigmatisation et de silence.
💡 Message clé : « Si les évaluations médicales n’identifient aucune maladie ou blessure, ou si les traitements ne fournissent pas l’amélioration escomptée, il est probable que le cerveau joue un rôle dans la génération ou la contribution à la douleur. On parle alors de symptôme neuroplastique. » [1]
Le poids du stigmate et du silence
Les douleurs pelviennes ne rentrent pas dans des catégories « visibles ». En effet, contrairement à une fracture ou une éruption cutanée, elles sont souvent cachées derrière les vêtements, les conversations chuchotées et notre propre réticence à en parler.
Alors, voici plus en détails, ce que le stigmate implique :
- Dans le cabinet médical : Historiquement, les femmes subissent des niveaux plus élevés d’invalidation dans les soins de santé. Une étude du New England Journal of Medicine a même révélé que les femmes sont sept fois plus susceptibles que les hommes d’être mal diagnostiquées en pleine crise cardiaque. [6]
- Avec les partenaires : Des pensées comme « Peut-être que c’est dans ma tête » ou « Est-ce que je leur fais du mal ? » peuvent éroder l’intimité plus rapidement que toute tension physique. 75% des femmes rapportent avoir ressenti des douleurs pendant les rapports sexuels à un moment donné. [7]
- Avec les amis : Comme le dit le Dr Alexandra Dubinskaya, urogynécologue : « On peut parler d’un triple pontage autour d’un cocktail, mais pas d’un trouble du plancher pelvien ».
- Avec soi-même : Des questions comme « Suis-je brisée ? » ou « Et si je ne profite plus jamais de la sexualité ? » créent un cycle vicieux de peur, d’autocritique et d’isolement.
+ Focus 1 : La vessie douloureuse (Interstitial Cystitis / Syndrome de la vessie douloureuse) 👇
La cystite interstitielle, également connue sous le nom de syndrome de la vessie douloureuse, se réfère à une pression ou une douleur dans la vessie, souvent accompagnée d’un besoin accru d’uriner.
Comprendre les symptômes
La douleur peut varier en sévérité, en localisation et dans sa relation avec des facteurs comme le cycle menstruel, la grossesse, l’activité sexuelle, les mouvements intestinaux, les mouvements corporels ou d’autres douleurs dans le corps. En effet, vider la vessie procure généralement un soulagement temporaire.
Les chiffres révélateurs
Des études montrent que 3,2 à 7,9 millions de femmes américaines de 18 ans et plus souffrent du syndrome de la vessie douloureuse, pourtant seulement 9,7% de ces femmes ont reçu un diagnostic. [8] De plus, 1 à 4 millions d’hommes américains présentent des symptômes, mais ce chiffre est probablement beaucoup plus élevé, car la plupart ont été incorrectement diagnostiqués avec une prostatite chronique. [9]
La perspective neuroplastique pour la cystite (vesssie douloureuse)
La cause de la cystite interstitielle est largement inconnue, mais on pense qu’elle est liée à l’inflammation de la paroi vésicale. Cependant, il faut noter que la vessie est maître dans l’auto-réparation. Lorsqu’elle est endommagée par une infection ou une blessure, l’organe peut se réparer rapidement.
Par ailleurs, si une bactérie cause une infection conduisant à l’inflammation, l’inflammation peut continuer même après que la bactérie soit partie et l’infection résolue avec des antibiotiques. En effet, le cerveau seul peut perpétuer l’inflammation et les muscles tendus parce qu’il perçoit un danger pour le corps, même lorsque le dommage est maintenant parti et que le corps est désormais en sécurité.
💡 Message clé : « Guérir de problèmes de vessies douloureuses est possible – avec les approches neuroplastiques. » [1] [12]
+ Focus 2 : La vulvodynie (Vulvodynia) 👇
La vulvodynie se caractérise par une douleur chronique ou un inconfort au niveau de la vulve, sans cause identifiable, persistant pendant au moins trois mois. Cette condition peut se manifester de diverses manières. [11]
Les manifestations courantes
- Douleur brûlante, lancinante ou irritante au niveau de la vulve
- Sensibilité accrue au toucher (allodynie)
- Douleurs déclenchées par le contact (vestibulodynie provoquée) ou constantes (vestibulodynie spontanée)
- Impact significatif sur la vie sexuelle et l’intimité
- Retentissement psychologique important
L’approche neuroplastique pour la vulvodynie
Comme pour d’autres douleurs pelviennes chroniques, la vulvodynie implique souvent une sensibilisation centrale où le système nerveux amplifie les signaux normaux. En effet, l’approche neuroplastique reconnaît que ces douleurs peuvent persister même après la résolution d’une cause initiale, car le cerveau a « appris » à interpréter les sensations normales comme dangereuses.
💡 Message clé : « Guérir de vulvodynie est possible, avec une approche neuroplastique. » [1] [12]
+ Focus 3 : L’endométriose 👇
L’endométriose est une maladie gynécologique qui se caractérise par la présence anormale, dans la cavité abdominale, de tissu endométrial (tissu identique à l’endomètre qui tapisse l’intérieur de l’utérus).
Les chiffres en France
On estime que l’endométriose touche environ une femme en âge de procréer sur 10, quel que soit son âge. D’ailleurs, un tiers des femmes âgées de 16 à 50 ans souffrant de douleurs menstruelles aiguës présente cette affection. [3] Il s’agit donc d’une maladie assez répandue.
Les symptômes caractéristiques
Lorsqu’elle se manifeste, l’endométriose se traduit essentiellement par :
- Crises de maux de ventre parfois insupportables, en particulier pendant les règles ou les rapports sexuels
- Douleurs pelviennes chroniques rythmées par le cycle menstruel
- Troubles de la fertilité : environ 30% à 40% des femmes touchées présentent une infertilité [3]
- Fatigue chronique qui altère le bien-être psychique
- Symptômes de l’intestin irritable : ballonnements, troubles du transit
- Gonflement abdominal (« endobelly ») soudain et visible
Le diagnostic d’endométriose souvent tardif
Aujourd’hui, le diagnostic d’endométriose est posé en moyenne sept années après les premiers symptômes, souvent du fait de la prise d’une pilule contraceptive qui masque la maladie. Elle ne sera identifiée qu’à l’arrêt de la contraception, du fait du retour des douleurs ou d’une infertilité.
Endométriose et syndrome de l’intestin irritable
En raison de la prédominance des symptômes digestifs chez certaines personnes, l’endométriose est souvent confondue avec le Syndrome de l’Intestin Irritable (SII). En effet, un indice clé pour différencier les deux est le caractère cyclique des symptômes de l’endométriose, qui ont tendance à s’aggraver de manière significative avant et pendant les règles. Cependant, avec le temps, la douleur peut devenir chronique et constante.
La dimension neuroplastique de l’endométriose
Même après traitement hormonal ou chirurgical de l’endométriose, certaines douleurs peuvent persister en raison d’une sensibilisation centrale développée au fil des années. L’approche neuroplastique devient alors essentielle pour désactiver ces circuits de douleur appris.
💡 Message clé : « Guérir d’endométriose est possible, avec une approche neuroplastique. » [1] [12]
+ Focus 4 : La névralgie pudendale (Pudendal Neuralgia) 👇
La névralgie pudendale résulte de l’irritation, de la compression ou de l’endommagement du nerf pudendal, qui innerve la région pelvienne, génitale et périnéale.
Les symptômes caractéristiques
- Douleur brûlante, lancinante ou sous forme de décharge électrique
- Douleur augmentée en position assise
- Soulagement en position debout ou allongée
- Sensation de corps étranger dans le rectum ou le vagin
- Troubles urinaires et sexuels associés
- Douleur souvent unilatérale mais pouvant être bilatérale
Les causes multiples
La névralgie pudendale peut résulter de :
- Compression du nerf lors d’activités prolongées (cyclisme, équitation)
- Traumatisme obstétrical lors d’un accouchement
- Chirurgie pelvienne antérieure
- Tensions musculaires du plancher pelvien
- Parfois sans cause identifiable
L’approche thérapeutique pour la névralgie pudendale
Au-delà des blocs nerveux diagnostiques et thérapeutiques, la kinésithérapie du plancher pelvien est particulièrement efficace pour identifier et traiter les contributeurs musculosquelettiques. De plus, quand elle ne suffit pas ou ne fonctionne pas, alors l’approche neuroplastique aide à rééduquer le système nerveux, lorsque la douleur persiste au-delà de la guérison tissulaire.
💡 Message clé : « Guérir de névralgie pudendale est possible, avec une approche neuroplastique. » [1] [12]
+ Focus 5 : La dyspareunie (douleurs pendant les rapports) 👇
La dyspareunie, ou douleur pendant les rapports sexuels, partage des similitudes avec d’autres conditions de douleur chronique. En effet, des facteurs comme la catastrophisation, la peur, l’hypervigilance et l’évitement apparaissent centraux dans la façon dont les individus vivent la douleur sexuelle.
Le rôle crucial du partenaire
Les partenaires peuvent influencer significativement les aspects émotionnels et physiques de l’expérience :
- Adaptation de l’intimité : L’intimité ne se résume pas à la pénétration. Explorer des formes alternatives d’intimité peut alléger la pression.
- Communication : Une discussion ouverte sur la douleur, les sentiments et les besoins peut favoriser l’intimité et la réassurance.
- Encouragement : Les partenaires peuvent encourager à consulter un médecin ou un thérapeute.
- Atténuation de l’hypervigilance : Un partenaire soutenant peut aider à promouvoir la relaxation et créer un environnement sûr.
La dimension psychologique de la dyspareunie
Pour certaines personnes, la douleur pelvienne n’est pas seulement un problème « médical » – c’est l’écho d’une blessure passée. En effet, un traumatisme peut laisser des empreintes profondes sur le système nerveux, que ce soit suite à des complications obstétricales, une chirurgie douloureuse ou des abus.
💡 Message clé : « Guérir de dyspareunie est possible, avec une approche neuroplastique. » [1] [12]
Témoignage de Christel, rétablie de douleurs pelviennes chroniques et neuroplastiques
Des dizaines de témoignages documentés montrent des rétablissements remarquables de douleur pelviennes diverses et vairées, grâce aux approches neuroplastiques.
« Au niveau des douleurs, on peut dire qu’elles ont considérablement baissé. À l’heure actuelle, j’en ai pratiquement plus. Là où je m’en suis aperçue c’est quand j’ai invité de la famille et j’ai pas du tout pensé à ma douleur, pas du tout. Alors qu’avant c’était obsessionnel.
Maintenant, je me fais plaisir, je vais me promener, je fais du vélo, j’ai fait 40 km de vélo la semaine dernière. Alors que je ne faisais plus rien. Ma vie est redevenue comme avant, je suis souriante, avant quand j’avais mal ça m’obsédait et je n’avais plus de sourire. »
Christel, prénom d’emprunt
Le lien traumas-douleurs pelviennes (femmes et hommes)
De nombreuses femmes souffrant de douleurs pelviennes chroniques ont un historique de traumatisme émotionnel, d’agression sexuelle, d’abus psychologique et de problèmes psychiatriques préexistants. En effet, beaucoup de femmes avec douleurs pelviennes chroniques ont un historique d’abus et vivent un trouble de stress post-traumatique comorbide.
Par ailleurs, l’incidence des viols masculins est largement sous-déclarée, avec environ 2,8 millions d’hommes américains affectés chaque année. Il est essentiel de reconnaître cette réalité souvent ignorée.
Comment les approches neuroplastiques peuvent aider à soulager les douleurs pelviennes
Premièrement, la PRT aide à rééduquer les circuits neuronaux de la douleur et de la peur, permettant au système nerveux de sortir de l’état d’hypervigilance. Cette approche reconnaît que même après la guérison physique, la perception de danger par le cerveau seule peut causer la persistance de l’inflammation.
Deuxièmement, l’EAET permet de libérer les émotions refoulées et les traumatismes qui maintiennent l’état de tension pelvienne chronique. Cette approche reconnaît le lien profond entre émotions non exprimées et manifestations somatiques dans la région pelvienne.
Troisièmement, la thérapie sexuelle et les soins tenant compte du trauma. Dans ces cas, une approche psychologique comme la thérapie de retraitement de la douleur, la thérapie de conscience et d’expression émotionnelle, la thérapie sexuelle ou les soins tenant compte du trauma peuvent être les bons outils pour le travail. Pour approfondir, voir l’article dédié à l’approche neuroplastique Douleurs&Cerveau.
Ce que je propose pour favoriser le rétablissement des douleurs pelviennes (et neuroplastiques)
💡 Évaluation et éducation
Comprendre l’histoire, les traumas – si existants -, et le niveau d’activation du système nerveux pelvien. Évaluer. Comprendre comment le cerveau peut maintenir la douleur pelvienne même après guérison tissulaire, et comment la peur, la honte et l’hypervigilance amplifient ces symptômes.
🧘 Régulation des émotions et de l’anxiété liée à l’intimité
Reconnaître et traiter les blessures émotionnelles liées à l’intimité, avec respect et progressivité.
Outils de régulation du système nerveux, respiration pelvienne, relaxation musculaire progressive, et désensibilisation graduelle de la région.
🧠 Outils PRT, EAET et approche du Dr Weekes
Sortez du cercle vicieux peur <-> douleur. Reconditionnement. Renforcement de votre sécurité intérieure.
🚶 Désensibilisation progressive et reprise
En respectant votre rythme, retrouver le plaisir des relations, communication avec le partenaire, redéfinition de l’intimité, et réduction de l’anxiété de performance.
🤝 Accompagnement personnalisé
Soutien individualisé, exercices adaptés, ressources pour consolider les apprentissages et retrouver une vie dynamique et sereine.
Découvrir l’approche.
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🔬 Mon cadre et mes engagements
Je m’appuie sur les dernières recherches scientifiques sur les douleurs pelviennes : approches neuroplastiques, thérapies émotionnelles, gestion du stress et techniques de régulation du système nerveux.
🔬 Sources scientifiques clés
- [1] Pelvic Pain – Association Treatment Neuroplastic Symptoms
- [2] Chronic Pelvic Pain – Alexander M. Dydyk; Charanjeet Singh; Nishant Gupta. – National Library of Medicine
- [3] Endométriose : symptômes, diagnostic et évolution – Ameli
- [4] Douleur pelvienne féminine – Le Manuel MSD
- [5] Maladies – Endométriose – Vidal
- [6] Heart Attack and Women – The New England Journal of Medicine
- [7] Sexual Healing : Vibrators as Medicine – Cedars Sinai
- [8] Prevalence of symptoms of bladder pain syndrome/interstitial cystitis among adult females in the United States – PubMed
- [9] Interstitial Cystitis/Bladder Pain Syndrome – National Library of Medicine
- [10] Interstitial Cystitis Association
- [11] Improving Women’s Health through Education, Research, Support and Advocacy – National Vulvodynia Association
- [12] Étude – Guérir de troubles neuroplastiques chroniques comme l’anxiété est possible – Jama network 2023
- [13] Quand consulter un médecin – Manuels MSD
- [14] Voir plus d’études et d’analyses dans ma revue scientifique ici
⚠️ Quand consulter un médecin
Avant tout, il est important de consulter rapidement dans ces situations :
- Douleurs aiguës soudaines avec fièvre ou signes d’infection
- Saignements anormaux abondants ou prolongés
- Douleurs accompagnées de pertes vaginales inhabituelles
- Impossibilité d’uriner ou sang dans les urines
- Symptômes de grossesse extra-utérine (douleur unilatérale aiguë)
- Douleurs s’aggravant rapidement malgré les traitements
- Impact majeur sur la vie quotidienne et la santé mentale
- Pensées suicidaires liées à la douleur chronique
- Symptômes neurologiques nouveaux (perte de sensibilité, faiblesse)
- En cas de douleur pelvienne aiguë avec signes vitaux instables, consultez immédiatement les urgences.
- Avant d’entreprendre toute approche neuroplastique
En cas de doute ou d’aggravation inhabituelle, consulter reste toujours la meilleure option. [13] Par ailleurs, un suivi médical permet d’écarter les causes secondaires et d’adapter l’accompagnement.
Questions fréquentes sur les Douleurs Pelviennes et neuroplastiques
Mes douleurs pelviennes sont-elles « dans ma tête » ?
Non, absolument pas. En effet, les douleurs pelviennes sont réelles et impliquent des mécanismes neurobiologiques complexes. L’approche neuroplastique reconnaît que le cerveau joue un rôle dans la génération de la douleur, mais cela ne rend pas la douleur moins réelle ou valide.
Puis-je encore avoir une vie intime normale ?
Oui, avec le bon accompagnement. En effet, de nombreuses personnes retrouvent une vie intime épanouissante en travaillant sur la désensibilisation, la communication et en redéfinissant ce que signifie l’intimité.
Dois-je parler de mes traumatismes passés ?
Cela dépend de votre confort. Cependant, il est important de savoir que les traumatismes non résolus peuvent maintenir la sensibilisation du système nerveux. Un accompagnement respectueux et progressif peut aider.
Les hommes peuvent-ils aussi souffrir de douleurs pelviennes chroniques ?
Absolument. En effet, bien que moins fréquente, la douleur pelvienne chronique chez les hommes existe avec un ensemble distinct de troubles associés incluant problèmes d’érection, douleurs urogénitales et troubles urinaires.
Combien de temps pour voir une amélioration ?
Variable selon les cas. Certaines personnes ressentent un soulagement significatif en quelques semaines, d’autres nécessitent plusieurs mois. La régularité et l’engagement dans le processus comptent plus que l’intensité.
L’endométriose peut-elle causer des douleurs même après traitement ?
Oui, dans certains cas. En effet, même après traitement hormonal ou chirurgical, une sensibilisation centrale peut maintenir les douleurs. L’approche neuroplastique devient alors essentielle.
La kinésithérapie du plancher pelvien aide-t-elle vraiment ?
Oui, elle est particulièrement efficace. En effet, la kinésithérapie du plancher pelvien identifie et traite les contributeurs musculosquelettiques aux douleurs pelviennes chroniques.
Dois-je arrêter mes traitements médicaux ?
Jamais sans avis médical. En effet, l’approche neuroplastique se place en complément de la prise en charge médicale existante, pas en remplacement.
📚 Définitions rapides – micro glossaire sur les douleurs pelviennes (troubles neuroplastiques)
- Douleurs pelviennes chroniques : douleurs persistantes dans le bassin pendant plus de 6 mois
- Cystite interstitielle : syndrome de la vessie douloureuse avec urgences urinaires
- Vulvodynie : douleur vulvaire chronique sans cause identifiable
- Endométriose : présence de tissu endométrial en dehors de l’utérus
- Névralgie pudendale : douleur liée au nerf pudendal
- Dyspareunie : douleurs pendant les rapports sexuels
- Plancher pelvien : ensemble de muscles soutenant les organes pelviens
- Dysménorrhée : règles douloureuses
- Endométriome : kyste ovarien lié à l’endométriose
- Sensibilisation centrale : amplification des signaux douloureux par le système nerveux
- Hypervigilance : état d’alerte excessif du système nerveux
- Allodynie : douleur provoquée par un stimulus normalement non douloureux
- Approche neuroplastique : reconditionnement du système nerveux par éducation et outils pratiques
- PRT : Pain Reprocessing Therapy, thérapie de reconditionnement de la douleur
- EAET : Emotional Awareness and Expression Therapy, libération des émotions refoulées
🤸♂️ Faire le premier pas en sécurité
Si vous vous reconnaissez dans ces symptômes, sachez qu’il existe un chemin vers le rétablissement. En effet, l’accompagnement bienveillant, les outils neuroplastiques et une compréhension claire des mécanismes sont les clés pour sortir du cercle vicieux des douleurs liées aux TMS.
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Liens utiles vers d’autre conditions associées aux douleurs pelviennes : intestin irritable, stress et anxiété, céphalées et migraines, fatigue chronique, mal de dos neuroplastique, fibromyalgie, approche neuroplastique.
Cet article ne remplace pas un avis médical professionnel. En cas de nouveaux symptômes, consultez votre médecin. La poursuite des traitements prescrits est recommandée.
💬 Vous trouverez sur cette page les termes souvent entendus concernant les douleurs pelviennes, qui s’auto-entretiennent avec les mécanismes neuroplastiques :
— Douleurs pelviennes, bas-ventre, région pelvienne, bassin
— Cystite interstitielle, vessie douloureuse, syndrome vessie douloureuse
— Vulvodynie, vestibulodynie, douleurs vulvaires
— Endométriose, endométriome, endobelly, adénomyose
— Névralgie pudendale, nerf pudendal, compression nerveuse
— Dyspareunie, douleurs rapports sexuels, vaginisme
— Dysménorrhée, règles douloureuses, douleurs cycliques
— Plancher pelvien, périnée, muscles pelviens
— Kinésithérapie pelvienne, rééducation périnéale
— Hypervigilance pelvienne, sensibilisation centrale pelvienne
💬 Vous trouverez sur cette page les termes souvent entendus pour se rétablir de douleurs pelviennes (oui, c’est possible !):
– Approche neuroplastique
– PRT (Pain Reprocessing Therapy)
– EAET (Emotional Awareness and Expression Therapy)
– Rééducation du système nerveux
– Gestion du stress chronique
– Témoignages de rétablissement, success stories, retour à l’activité