La fatigue chronique est également appelée Syndrome de Fatigue Chronique (SFC) ou Encéphalomyélite Myalgique (EM/ME). Concrètement, elle touche environ 250 000 personnes en France, dont 80% de femmes. [1] En effet, elle se caractérise par une fatigue invalidante, des troubles du sommeil, des difficultés cognitives, des douleurs et d’autres symptômes qui s’aggravent à l’effort.
D’ailleurs, ces symptômes persistent depuis au moins six mois et ne peuvent être expliqués par aucune condition médicale sous-jacente identifiée. Heureusement, l’approche neuroplastique offre une nouvelle compréhension de ces troubles et des solutions efficaces pour retrouver une vie sans fatigue.
Ainsi, l’approche neuroplastique s’adresse aux personnes déjà suivies médicalement et vise à reprendre du pouvoir sur ces symptômes grâce à l’éducation, la régulation du stress et des émotions, et des outils concrets inspirés de la neuroplasticité, de la Pain Reprocessing Therapy et de l’EAET.
Important : mon coaching ne remplace pas un avis médical. En cas de nouveaux symptômes, d’aggravation ou de doute, je vous invite à consulter un professionnel de santé et à toujours poursuivre vos traitements.

Ce que les personnes souffrant de fatigue chronique décrivent souvent
Par conséquent, les personnes concernées décrivent souvent :
- Épuisement disproportionné après des activités même légères
- Malaise post-effort (MPE) apparaissant 24 à 72h après l’activité
- Troubles du sommeil persistants malgré la fatigue intense
- Brouillard mental et difficultés de concentration
- Douleurs musculaires et articulaires variables
- Sensation d’avoir une grippe permanente
- Hypersensibilité à la lumière, au bruit, aux odeurs
- Examens médicaux normaux malgré des symptômes très réels
Les 3 catégories de fatigue
- Premièrement, nous avons la fatigue secondaire : elle est principalement due à des médicaments, une grossesse, du surmenage, un déconditionnement (par exemple, après une hospitalisation), une maladie (comme un virus, ou un Covid Long). Dans ce cas, il y a une possibilité d’agir en amont.
- Deuxièmement, il y a la fatigue physiologique. Celle-ci n’est pas causée par des conditions médicales sous-jacentes. Mais plutôt par un déséquilibre dans votre corps qui fait qu’on manque d’énergie : trop d’activité physique, pas assez de sommeil, pas assez d’alimentation, trop de travail cognitif, surmenage fonctionnel ou dysfonctionnel (temporaire, 1 ou 2 semaines au travail) ou même chronique.
- Troisièmement, la fatigue chronique : elle dure depuis plus de 3 à 6 mois, et n’entre dans aucune des 2 premières catégories.
Focus sur le cas particulier du malaise post-effort : quand le cerveau perçoit une menace
Comme l’explique la recherche récente présentée par le Dr Becca Kennedy, le malaise post-effort ne signifie pas que l’activité était trop importante pour le corps, mais pour le cerveau, qui a perçu une grosse menace. En effet, le cerveau fonctionne par prédiction et utilise diverses sources d’information pour décider de créer des symptômes protecteurs.
De plus, cette compréhension révolutionnaire place la fatigue chronique neuroplastique au même niveau que la douleur chronique neuroplastique [6], ouvrant ainsi de nouvelles perspectives de rétablissement.
Ainsi, vivre avec ces troubles transforme le quotidien en véritable parcours du combattant, nécessitant une gestion constante de ses « réserves d’énergie » selon la « théorie des cuillères » (reprise par l’Inserm par l’image d’une batterie défectueuse [2]).
Les causes de la fatigue chronique : un mystère médical qui se dévoile peu à peu
Vous vous demandez sûrement : « Mais pourquoi moi ? ». C’est une question légitime quand on vit cette fatigue qui semble ne jamais partir. Alors, la vérité, c’est que le syndrome de fatigue chronique reste encore mystérieux pour la médecine. Il ne s’agit probablement pas d’une maladie unique, mais plutôt d’un ensemble de troubles qui se manifestent par des symptômes similaires.
Malgré des recherches considérables, la cause exacte demeure inconnue, même si de nombreux facteurs sont pointés du doigt. Il existe même une controverse sur l’origine – physique ou mentale – mais une chose est sûre : vos symptômes sont très réels [3] et des solutions existent que nous allons prendre le temps de développer dans cet article.
Les facteurs déclencheurs identifiés de la fatigue chronique
Tout d’abord, ce qui ressort des études [3] [4], c’est que plusieurs facteurs peuvent déclencher cette fatigue :
- Infections virales : souvent après une mononucléose, une grippe ou la Covid-19. Le virus Epstein-Barr, l’herpès, mais aussi des bactéries comme Brucella ou Mycoplasma sont souvent pointés du doigt.
- Chocs émotionnels : traumatismes physiques ou psychologiques.
- Stress chronique et surmenage : qu’il soit professionnel ou lié à des activités trop intenses.
- Facteurs toxiques : exposition au plomb, monoxyde de carbone, ou autres substances environnementales.
Secondairement, la médecine identifie également d’autres causes de fatigue pathologique possibles :
- Maladies silencieuses : anémie, problèmes thyroïdiens
- Troubles du sommeil : apnée, insomnies chroniques
- État dépressif non diagnostiqué
- Certains médicaments : psychotropes, somnifères, antihypertenseurs
- Alimentation déséquilibrée ou déshydratation
💡 Message clé : « Bien que les facteurs puissent être nombreux, lorsqu’on analyse individuellement chaque situation personnelle, nous retrouvons très souvent des causes communes sous-jacentes, sur lesquels nous pouvons agir.«
Dans la majorité des cas : le rôle central du système nerveux dans la fatigue chronique et neuroplastique
Ce que je trouve fascinant, c’est que votre cerveau peut devenir hypersensible après ces événements déclencheurs. Pour illustrer cela, imaginez votre système nerveux comme un système d’alarme qui se serait déréglé : il se met en marche même quand il n’y a pas de réel danger.
Trois habitudes mentales peuvent maintenir ce cercle vicieux :
- L’inquiétude constante sur ce qui pourrait arriver
- Des exigences trop élevées envers soi-même
- L’autocritique permanente
Ces patterns activent les régions du cerveau liées à la peur et maintiennent le système nerveux en état d’alerte.
💡 Message clé : « D’un point de vue neuroplastique, la fatigue est un mécanisme de protection face à un danger, activé par le cerveau. C’est le cerveau qui crie au corps DANGER : repose-toi ! «
Le cerveau utilise diverses sources d’information, y compris les expériences passées et les informations situationnelles, pour décider de créer des symptômes, dont la douleur, la fatigue et l’anxiété.
💡 Message clé : « Le cerveau fonctionne par prédiction plutôt que par simple réception passive d’informations sensorielles. Ceci s’applique à la perception de la fatigue – créée par le cerveau pour nous protéger. »
Une approche multifactorielle et neuroplastique nécessaire pour mieux gérer la fatigue chronique
Bien que les symptômes soient parfaitement réels, les évaluations médicales ne révèlent souvent aucune maladie ou lésion. Par ailleurs, si les traitements conventionnels n’apportent pas l’amélioration escomptée, il est probable que le cerveau joue un rôle dans la génération de ces symptômes. On parle alors de symptômes neuroplastiques.
Ce qui ressort de toutes ces recherches, c’est que la fatigue chronique résulte souvent de plusieurs facteurs combinés. C’est pourquoi l’approche neuroplastique s’avère si pertinente : elle s’attaque à la fois aux aspects émotionnels, au stress, et au reconditionnement du système nerveux.
La bonne nouvelle ? Si votre cerveau a appris à générer cette fatigue, il peut aussi apprendre à s’en libérer. C’est exactement ce que nous explorons ensemble avec les outils de la PRT et de l’EAET.
Approche neuroplastique pour la fatigue chronique avec la Pain Reprocessing Therapy (PRT)
La Pain Reprocessing Therapy pour la fatigue chronique et neuroplastique propose une méthode efficace pour réapprendre au cerveau à interpréter correctement les signaux corporels. En effet, cette approche comprend 2 axes.
Tout d’abord des messages de sécurité essentiels :
- L’aggravation des symptômes de fatigue est sans danger et ne signifie pas de dommage corporel
- Le mouvement et les symptômes ne causent aucune lésion physique
- Les rechutes sont temporaires et font partie du processus de rétablissement
Ensuite, des outils concrets de la PRT adaptés à la fatigue chronique et neuroplastique :
- Somatic Tracking : observation bienveillante des sensations de fatigue
- Réattribution des symptômes : comprendre leur origine neuroplastique
- Exposition graduée : reprendre confiance dans les activités redoutées
- Gestion du stress et régulation du système nerveux
💡 Message clé : « Le cerveau peut apprendre à désactiver l’état protecteur de fatigue, lorsqu’il n’est pas utile ni pertinent. La neuroplasticité offre une voie de rétablissement durable. » [5]
Thérapie EAET : libérer les émotions pour retrouver son énergie et son dynamisme naturel
L’Emotional Awareness and Expression Therapy (EAET) s’avère particulièrement efficace pour la fatigue chronique. En effet, elle permet de :
- Identifier et exprimer les traumatismes et conflits émotionnels
- Développer l’auto-compassion face aux difficultés
- Libérer les émotions réprimées (colère, tristesse, frustration)
- Améliorer la communication interpersonnelle et l’affirmation de soi
En bref, cette approche, validée scientifiquement, offre une alternative sérieuse pour les personnes dont la fatigue résiste aux traitements conventionnels.
Stratégies spécifiques pour le sommeil
Contrairement aux idées reçues, les troubles du sommeil dans la fatigue chronique peuvent aussi être d’origine neuroplastique. Évidemment, comme le savez et le constatez, le sommeil est une base – sinon la base – essentielle pour lutter contre la fatigue. D’ailleurs, la recherche montre que l’amélioration du sommeil est aussi cruciale pour la gestion des symptômes chroniques. Pour cela, vous pouvez vous appuyer sur les 3 piliers du sommeil réparateur :
- Rythme circadien : régulariser les heures de coucher et lever
- Sentiment de sécurité : créer un environnement et des pensées apaisantes
- Gestion du déficit de sommeil : éviter les siestes prolongées
Ainsi que sur les exemples suivants de techniques neuroplastiques pour mieux dormir :
- Consolidation du sommeil : ajuster les heures au lit selon le temps de sommeil réel
- Messages rassurants : « Mon corps sait comment dormir, je vais finir par m’endormir »
- Expressive writing si réveils nocturnes
- Progressive relaxation musculaire (et yoga nidra)
Dépasser la théorie des cuillères
Bien que la théorie des cuillères (voir FAQ) soit utile pour expliquer la fatigue aux proches, elle peut parfois maintenir la peur de l’effort. Par conséquent, l’approche neuroplastique propose de :
- Questionner la relation cause-effet entre activité et symptômes
- Éviter le « pacing » mathématique qui maintient l’hypervigilance
- Se visualiser en train de réaliser des activités avec succès
- Développer une exposition progressive aux activités redoutées
Ils ont retrouvé énergie et dynamisme : témoignages
« Je ne me lève plus le matin en me demandant a quel moment je vais avoir, ou limiter mes activités sportives. Je vis bien mieux et j’ai une meilleure connaissance de moi. »
Témoignage de Jean, la quarantaine, qui a repris le travail et le sport à haute intensité
« Nous avons trouvé Victor en bien meilleure forme ces dernières semaines, plus joyeux, plus sociable et détendu, plus motivé, refaisant des projets. »
Témoignage des parents de Victor, 16 ans
Faits rassurants scientifiquement validés
- La fatigue chronique n’endommage pas le corps : c’est un signal d’alarme du cerveau
- Le rétablissement est possible [7] même après des années de symptômes
- L’approche neuroplastique montre des résultats très encourageants
- Les rechutes font partie du processus et ne sont pas synonyme d’échecs
Questions fréquentes sur la fatigue chronique, le malaise post-effort et les problèmes de sommeil chroniques
La fatigue chronique peut-elle vraiment disparaître ?
Absolument. En effet, des études scientifiques montrent qu’une rééducation du cerveau par des thérapies neuroplastiques peut considérablement améliorer ou faire disparaître la fatigue chronique.
Consultez les témoignages de rétablis ici.
Qu’est-ce que la théorie des petites cuillères ?
Inventée par Christine Miserandino, atteinte d’un lupus, sa théorie est utilisée :
- pour faire comprendre la grande fatigabilité due à un problème chronique,
- pour visualiser et gérer sa réserve d’énergie.
De cette manière, elle représente le réservoir d’énergie d’une personne sous forme de cuillères. Tout d’abord, on commence la journée avec une quantité limitée de cuillères d’énergie. Puis, chaque activité “coûte” un certain nombre de cuillères. Par exemple, faire un repas peut coûter deux cuillères et se doucher une cuillère.
Ainsi, chaque jour, les malades chroniques doivent anticiper toutes leurs activités pour tenir compte de ce stock limité de cuillères. Voilà pourquoi, il peut être intéressant de se représenter son propre stock et d’évaluer combien il nous en faut pour nos activités quotidiennes. En effet, cela aide à prioriser ce que l’on peut faire dans une journée et à préserver ses réserves d’énergie, aussi limitées soient-elles.
Par exemple, je commence ma journée avec dix cuillères et constate à 18h qu’il ne m’en reste plus que deux. Donc, si manger me coûte une cuillère, discuter avec une amie au téléphone une autre cuillère et me laver une cuillère, je sais que je dois choisir à quelles activités je dédie mes deux cuillères restantes. En conséquence, peut-être vais-je choisir une seule activité et mettre de côté une cuillère en prévision d’une mauvaise nuit.
A l’inverse, les personnes sans douleur chronique, elles, ont un stock bien plus élevé de cuillères à leur disposition. En effet, elles peuvent réaliser toutes leurs activités sans y penser et puiser ponctuellement dans leurs réserves sans conséquence sur leur santé. Voilà pourquoi elles n’ont pas besoin d’appliquer la théorie des cuillères mais cette image peut les aider à agir avec plus de bienveillance et d’attention envers les personnes concernées.
Dois-je arrêter de compter mes « cuillères » ?
Progressivement, oui. En effet, se concentrer constamment sur ses limites peut maintenir l’hypervigilance du cerveau et perpétuer les symptômes.
Le malaise post-effort est-il dangereux ?
Non, le MPE ne cause aucun dommage physique. En bref, c’est une réaction de protection du cerveau qui peut être réapprise grâce aux approches neuroplastiques.
📚 Définitions rapides – micro glossaire sur la fatigue chronique neuroplastique et syndromes associés
- Fatigue chronique : fatigue intense persistant plus de 6 mois, non soulagée par le repos
- EM/SFC : Encéphalomyélite Myalgique/Syndrome de Fatigue Chronique
- MPE/PEM : Malaises Post-Effort, aggravation disproportionnée 24-72h après activité
- POTS : Syndrome de tachycardie orthostatique posturale
- Intolérance à l’effort : incapacité à maintenir un niveau d’activité habituel
- Brouillard mental : troubles cognitifs, difficultés de concentration et mémoire
- Sommeil non réparateur : réveil épuisé malgré un nombre d’heures suffisant
- Crash énergétique : effondrement soudain des capacités après un effort
- Hypersensibilité sensorielle : sensibilité excessive au bruit, lumière, toucher
- Approche neuroplastique : reconditionnement du système nerveux par éducation et outils pratiques
- PRT : Pain Reprocessing Therapy, thérapie de reconditionnement de la douleur
- EAET : Emotional Awareness and Expression Therapy, libération des émotions refoulées
- Somatic Tracking : observation bienveillante des sensations corporelles
- Messages de sécurité : rappels que le corps va bien malgré les symptômes
Ce que je propose pour favoriser le rétablissement de votre fatigue chronique et neuroplastique
💡 Éducation rassurante et scientifique
Comprendre les mécanismes neuroplastiques de la fatigue chronique, déconstruire les croyances limitantes, distinguer danger réel et fausse alarme.
🧘 Gestion du système nerveux et régulation émotionnelle
Techniques de calme du système nerveux, messages de sécurité, gestion du stress post-traumatique, expression émotionnelle libératrice.
🧠 Outils PRT, EAET et Somatic Tracking
Réattribution des signaux de fatigue, développement de l’auto-compassion, exposition graduée, libération des émotions réprimées.
😴 Stratégies spécialisées pour le sommeil
Rééducation du sommeil par les approches neuroplastiques, consolidation du sommeil, gestion des réveils nocturnes.
🚶 Reprise d’activité progressive et confiante
Sortir de l’évitement, dépasser la peur du malaise post-effort, restaurer la confiance en sa capacité à fonctionner normalement.
🤝 Accompagnement personnalisé
Soutien individualisé, exercices adaptés, ressources pour consolider les apprentissages et retrouver une vie pleine d’énergie et de dynamisme.
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🔬 Mon cadre et mes engagements
Je m’appuie sur les dernières recherches scientifiques sur la fatigue chronique (incluant le malaise post-effort et la gestion du sommeil) : approches neuroplastiques, thérapies émotionnelles, gestion du stress post-traumatique et techniques de régulation du système nerveux.
🔬 Sources scientifiques clés
- [1] Un cas particulier : le syndrome de fatigue chronique – Ameli – Assurance Maladie
- [2] Batterie défectueuse – C’est quoi la fatigue chronique ? – Inserm
- [3] Syndrome de fatigue chronique (Maladie d’intolérance systémique à l’effort ; MISE ; Encéphalomyélite myalgique ; EM/SFC) – MSDM
- [4] Les causes de la fatigue – VIDAL
- [5] Source médicale de l’association internationale de médecins Symptomatic
- [6] Liens confirmés entre les syndromes douloureux chroniques (TMS, fibromyalgie, syndrome de fatigue chronique, céphalées, syndrome du côlon irritable, endométriose et douleurs lombaires). IASP – PAIN – 2024
- [7] Étude – Guérir de troubles neuroplastiques chroniques est possible – Jama network 2023
- [8] Quand consulter un médecin – Manuels MSD
- [9] Voir plus d’études et d’analyses dans ma revue scientifique ici.
⚠️ Quand consulter un médecin
Avant tout, il est important de consulter rapidement dans ces situations :
- Fatigue intense apparue brutalement sans cause identifiable
- Perte de poids importante et inexpliquée
- Fièvre persistante accompagnant la fatigue
- Troubles neurologiques nouveaux : faiblesse marquée, troubles de la parole, coordination
- Difficultés respiratoires ou essoufflement inhabituel
- Troubles cardiaques : palpitations importantes, malaises
- Symptômes psychiatriques sévères : idées suicidaires, dépression profonde
- Troubles de la déglutition ou difficultés à avaler
- Ganglions gonflés persistants au cou ou aux aisselles
- Doute sur le diagnostic
- Avant d’entreprendre toute approche neuroplastique
En cas d’urgence ou de symptômes alarmants, consulter immédiatement. Par ailleurs, un suivi médical permet d’écarter les causes secondaires et d’adapter l’accompagnement. [8]
🤸♂️ Faire le premier pas en sécurité
Si vous vous reconnaissez dans ces symptômes, sachez qu’il existe un chemin vers le rétablissement. En effet, l’accompagnement bienveillant, les outils neuroplastiques et une compréhension claire des mécanismes sont les clés pour sortir du cycle de la fatigue chronique et neuroplastique.
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Liens utiles vers d’autre conditions associées : anxiété et troubles paniques, stress post-traumatique, céphalées et migraines, fibromyalgie, mal de dos neuroplastique, approche neuroplastique.
Cet article ne remplace pas un avis médical professionnel. En cas de nouveaux symptômes, consultez votre médecin. La poursuite des traitements prescrits est recommandée.
💬 Vous trouverez sur cette page les termes souvent entendus concernant la fatigue chronique et neuroplastique :
– Syndrome de Fatigue Chronique (SFC)
– Encéphalomyélite Myalgique (EM/ME)
– Malaise post-effort (MPE)
– Crash énergétique
– Épuisement post-activité
– Brouillard mental, troubles cognitifs
– Hypersensibilité sensorielle, douleurs musculaires diffuses
– Troubles du sommeil chroniques, insomnie paradoxale, fatigue non réparatrice
– Intolérance systémique à l’effort
– Dysautonomie, palpitations, POTs
– Vertiges, maux de tête chroniques
– Sensations pseudo-grippales
– Fluctuations symptomatiques et symptômes neuroplastiques
💬 Vous trouverez sur cette page les termes souvent entendus pour se rétablir des différents types de fatigues chroniques et neuroplastiques :
– Approche neuroplastique
– PRT (Pain Reprocessing Therapy), EAET (Emotional Awareness and Expression Therapy)
– Somatic tracking, messages de sécurité, réattribution des symptômes, exposition graduée
– Consolidation du sommeil
– Thérapie comportementale cognitive pour l’insomnie (CBTI)
– Relaxation musculaire progressive, yoga nidra
– Expressive writing
– Auto-compassion
– Visualisation thérapeutique
– Rééducation du système nerveux
– Gestion du stress chronique
– Témoignages de rétablissement, success stories, retour à l’activité