Le syndrome de l’intestin irritable (SII), également appelé côlon irritable ou colopathie fonctionnelle, et parfois trouble neuroplastique, touche des millions de personnes dans le monde. En effet, cette forme de troubles gastro-intestinaux, se manifeste par des douleurs abdominales récurrentes, des troubles du transit (diarrhée, constipation, ou alternance des deux), des ballonnements et des sensations de selles incomplètes. Par conséquent, vivre avec ces symptômes imprévisibles transforme le quotidien en parcours du combattant, affectant le travail, les relations sociales et la qualité de vie. [1]
D’ailleurs, ce qui rend ces troubles particulièrement décourageants, c’est leur caractère fluctuant et leur résistance aux traitements classiques. Heureusement, l‘approche neuroplastique offre une nouvelle compréhension de ces troubles intestin-cerveau et des solutions efficaces pour retrouver un confort digestif.
Ainsi, l’approche neuroplastique s’adresse aux personnes déjà suivies médicalement et vise à reprendre du pouvoir sur ces symptômes grâce à l’éducation, la régulation du stress et des émotions, et surtout des outils concrets inspirés de la neuroplasticité, de la Pain Reprocessing Therapy et de l’EAET.
Important : mon coaching ne remplace pas un avis médical. En cas de nouveaux symptômes, d’aggravation ou de doute, je vous invite à consulter un professionnel de santé et à toujours poursuivre vos traitements.
Ce que les personnes souffrant du syndrome de l’intestin irritable décrivent souvent
Par conséquent, les personnes concernées décrivent souvent ce type de troubles gastro-intestinaux (GI) :
- Douleurs abdominales qui varient d’intensité selon le stress, la fatigue ou les périodes de tension émotionnelle
- Troubles du transit imprévisibles : alternance entre diarrhée et constipation, parfois dans la même journée
- Ballonnements et sensations de gonflement particulièrement après les repas ou en période de stress
- Sensation de selles incomplètes malgré des passages répétés aux toilettes
- Examens médicaux normaux (coloscopie, analyses sanguines) malgré des symptômes très réels et handicapants
- Amélioration pendant les vacances et aggravation en période de stress professionnel ou personnel
« Des facteurs psychologiques comme l’anxiété, l’angoisse, le stress ou la survenue d’événements difficiles peuvent déclencher des symptômes. À l’inverse, pendant le repos ou les périodes de vacances, les symptômes ont tendance à diminuer. »
Source : Ameli [2]
Le mystère du diagnostic du SII : pourquoi les examens ne révèlent rien
Il n’existe pas de test diagnostique définitif pour le SII ; le diagnostic repose sur les symptômes typiques et l’élimination d’autres causes potentielles. En fait, tous les examens proposés en cas de syndrome de l’intestin irritable sont normaux par définition, car c’est un diagnostic d’élimination.
Les causes du syndrome du côlon irritable ne sont pas connues. Toutefois, environ la moitié des personnes qui en souffrent se décrivent comme stressées et rattachent les crises à des périodes de fatigue ou de stress intense [13]. De plus, le repos et les vacances semblent réduire la fréquence et l’intensité des crises. Source : Vidal [3].
Dans certains cas, la colopathie fonctionnelle apparaît après une infection intestinale aiguë. Enfin, chez certaines personnes, l’intolérance modérée au lactose ou au gluten pourrait également jouer un rôle.
💡 Message clé : « Si les examens médicaux ne révèlent aucune maladie ou blessure, ou si les traitements n’apportent pas l’amélioration escomptée, il est probable que le cerveau joue un rôle dans la génération ou la contribution de ces symptômes. On parle alors de symptôme neuroplastique. » [1]
La connexion intestin-cerveau : votre « second cerveau »
On entend souvent l’expression « écouter ses tripes » – et la science démontre qu’elle est plus vraie qu’on ne le pense. Notre tube digestif possède son propre réseau neuronal complexe – plus de 100 millions de neurones – à tel point qu’on le surnomme souvent le « second cerveau » du corps.
Lorsque le cerveau est en difficulté, l’intestin suit souvent. En effet, le stress, l’anxiété et la tension émotionnelle peuvent affecter directement la digestion et déclencher des symptômes physiques. Parallèlement, la santé intestinale influence l’humeur, la cognition et la santé mentale globale. D’ailleurs, l’intestin produit environ 95% de la sérotonine du corps. [4] [5]
C’est l’une des raisons pour lesquelles nous pouvons ressentir des picotements dans l’estomac lorsque nous sommes nerveux : notre second cerveau envoie constamment des signaux.
« L’esprit intuitif est un don sacré et l’esprit rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et oublie le don. » –
Albert Einstein
Les troubles de l’interaction intestin-cerveau (TICG)
Le SII fait partie d’un groupe de troubles désormais appelés troubles de l’interaction intestin-cerveau (TICG). [6] En effet, ces affections partagent la même caractéristique sous-jacente : une mauvaise communication entre le cerveau et le système digestif. Pour résumer, elles comprennent :
- Dyspepsie fonctionnelle : gêne abdominale haute récurrente, sensation de satiété précoce ou nausées sans cause structurelle
- Gastroparésie : vidange gastrique retardée entraînant ballonnements, nausées et vomissements
- Constipation ou diarrhée fonctionnelle : symptômes intestinaux chroniques non expliqués par une maladie structurelle
- Syndrome de douleur abdominale fonctionnelle : douleur abdominale persistante inexpliquée
Voilà pourquoi, les affections comme le syndrome de l’intestin irritable, ou comme le syndrome du côlon irritable, s’aggravent souvent avec le stress, l’anxiété ou une (hyper-)sensibilité accrue du cerveau et du corps.
Comment une approche neuroplastique peut soulager le syndrome de l’intestin irritable
Après avoir exclu les autres causes sous-jacentes, on constate souvent que le SII est influencé par la neuroplasticité. Compte tenu du lien entre l’intestin et le cerveau, cette compréhension est tout à fait logique.
💡 Message clé : « Se rétablir du Syndrome de l’Intestin Irritable est possible. » [9] [10]
Premièrement, la Pain Reprocessing Therapy aide à rééduquer les « signaux de danger » du cerveau, réduisant ainsi la réponse au stress qui peut perturber l’intestin. En agissant sur la peur, l’anxiété et les signaux d’alarme erronés, les patients peuvent apaiser leur système nerveux, permettant ainsi à l’intestin de se réguler plus naturellement.
Deuxièmemnt, l’EAET (Emotional Awareness and Expression Therapy) permet de libérer les émotions refoulées et les traumatismes qui peuvent maintenir l’hypersensibilité intestinale. Cette approche reconnaît que les troubles fonctionnels peuvent être potentiellement réversibles par des changements émotionnels profonds.
Troisièmement, nous savons que le stress a un impact négatif sur la santé intestinale : le stress à lui seul peut perturber l’équilibre des bactéries bénéfiques dans l’intestin, provoquant une inflammation et des symptômes du SII. Voilà pourquoi de nombreuses approches d’apaisement complémentaires peuvent être très efficaces, adaptée à votre profil et votre sensibilité (nous sommes humains et tous différents !) : relaxation, mise en mouvement douce, respiration, hypnose, chant, danse, activité artistique, etc.
Témoignage : retrouver une vie normale avec un syndrome de l’intestin irritable (approche neuroplastique)
« Au niveau des douleurs, on peut dire qu’elles ont considérablement baissé. À l’heure actuelle, j’en ai pratiquement plus… Là où je m’en suis aperçue c’est quand j’ai invité de la famille et j’ai pas du tout pensé à ma douleur. Alors qu’avant c’était obsessionnel… Maintenant, je me fais plaisir, je vais me promener, je fais du vélo, j’ai fait 40km de vélo la semaine dernière. Ma vie est redevenue comme avant, je suis souriante. »
Témoignage de Christel, souffrant de douleurs au ventre et aux lombaires depuis trois ans
Les traitements complémentaires scientifiquement validés pour le SII (au-delà de l’approche neuroplastique)
Heureusement, l’efficacité de plusieurs traitements complémentaires est prouvée scientifiquement dans la prise en charge du SII [7] :
- Activité physique adaptée
- Hypnose avec apprentissage de l’auto-hypnose
- Méditation de pleine conscience
- Thérapie de soutien
- Thérapie Cognitive et Comportementale (TCC)
Des recherches récentes de Stanford Medicine [8] ont mis en évidence l’intensification de la communication entre l’intestin et le cerveau via l’axe intestin-cerveau. Aussi, ces études montrent que les troubles intestinaux ne sont pas « uniquement dans la tête ». En réalité, le système digestif peut agir indépendamment du cerveau. La bonne nouvelle est que les thérapies qui calment les signaux de danger du cerveau aident à rétablir l’équilibre et à réduire les symptômes.
Questions fréquentes sur le syndrome de l’intestin et du côlon irritable
Comment savoir si mes troubles digestifs sont neuroplastiques ?
En complément de l’avis médical, explorez si votre syndrome de l’intestin irritable présente des caractéristiques compatibles avec une composante neuroplastique grâce aux 18 critères les plus fréquents. Si votre médecin ne connaît pas encore ce type de troubles, partagez-lui ma lettre d’information médicale.
Le syndrome de l’intestin irritable peut-il vraiment disparaître ?
Absolument. En effet, des études scientifiques montrent qu’une rééducation du système nerveux par des thérapies neuroplastiques peut faire disparaître ou réduire durablement les troubles digestifs fonctionnels. D’ailleurs, consultez les témoignages de personnes rétablies pour voir concrètement ce qui est possible. Consultez les témoignages de rétablis ici.
Est-ce que mes symptômes sont juste « dans ma tête » ?
Non, vos troubles intestinaux ne sont absolument pas « dans votre tête ». En effet, le syndrome de l’intestin irritable produit des symptômes physiques très réels : douleurs, ballonnements, troubles du transit. Cependant, la source peut être neuroplastique : ils résultent d’une hypersensibilité de l’axe intestin-cerveau plutôt que d’une lésion digestive.
Pourquoi mes examens sont-ils toujours normaux ?
Par définition, le diagnostic de syndrome de l’intestin irritable ne peut être posé que si tous les examens sont normaux. En fait, c’est ce qu’on appelle un diagnostic d’élimination. Cela signifie que votre système digestif n’est pas « cassé » mais que la communication entre votre intestin et votre cerveau est perturbée.
Est-ce que le stress aggrave vraiment mes symptômes ?
Oui, c’est scientifiquement prouvé. D’ailleurs, des facteurs psychologiques comme l’anxiété, l’angoisse, le stress ou la survenue d’événements difficiles peuvent déclencher des symptômes. À l’inverse, pendant le repos ou les périodes de vacances, les symptômes ont tendance à diminuer.
Dois-je arrêter mes médicaments pour les intestins ?
Surtout pas sans avis médical. En effet, l’approche neuroplastique vient en complément des traitements prescrits, permettant souvent de réduire progressivement les doses sous supervision médicale au fur et à mesure de l’amélioration.
Combien de temps faut-il pour voir des résultats ?
Chaque parcours est unique. Cependant, certaines personnes ressentent des améliorations dès les premières semaines, tandis que d’autres ont besoin de quelques mois. L’important est d’avancer à votre rythme, en sécurité, sans vous mettre de pression supplémentaire (ce qui serait contre-productif).
Et si j’ai peur que ça ne parte jamais ?
Cette peur est naturelle et compréhensible quand on vit avec ces troubles depuis longtemps. En effet, en travaillant sur la compréhension des mécanismes, la régulation émotionnelle et les outils neuroplastiques, la trajectoire peut évoluer favorablement même après des mois ou années de symptômes. Pour vous aider à garder espoir, vous pouvez consulter les témoignages de rétablis ici.
Puis-je manger normalement à nouveau ?
L’objectif de l’approche neuroplastique est justement de vous aider à retrouver une relation apaisée avec la nourriture. Par conséquent, en désensibilisant progressivement votre système nerveux, vous pourrez souvent réintroduire les aliments évités, étape par étape.
Comment gérer l’incompréhension de mon entourage ?
L’éducation bienveillante de vos proches, l’appui de témoignages similaires et le soutien de professionnels formés peuvent considérablement aider. D’ailleurs, n’hésitez pas à partager des ressources éducatives sur les troubles intestin-cerveau et sur l’approche neuroplastique pour les aider à mieux comprendre.
📚 Définitions rapides – micro glossaire sur le syndrome de l’intestin irritable et le trouble neuroplastique
- Syndrome de l’intestin irritable (SII) : trouble fonctionnel caractérisé par des douleurs abdominales et troubles du transit
- Côlon irritable : autre terme pour désigner le syndrome de l’intestin irritable
- Colopathie fonctionnelle : dénomination médicale du trouble sans lésion organique identifiable
- TICG : Troubles de l’Interaction Intestin-Cerveau, famille de troubles incluant le SII
- Axe intestin-cerveau : communication bidirectionnelle entre le système digestif et le système nerveux
- Second cerveau : réseau de 100 millions de neurones dans le tube digestif
- Hypersensibilité viscérale : sensibilité excessive des intestins à l’inconfort ou à la douleur
- Dysbiose : déséquilibre du microbiote intestinal
- FODMAP : glucides fermentescibles pouvant déclencher les symptômes
- MPE : Malaises Post-Effort, aggravation des symptômes après activité
- Troubles fonctionnels : symptômes réels sans anomalie structurelle identifiable
- Approche neuroplastique : reconditionnement du système nerveux par éducation et outils pratiques
- PRT : Pain Reprocessing Therapy, thérapie de reconditionnement de la douleur
- EAET : Emotional Awareness and Expression Therapy, libération des émotions refoulées
Ce que je propose pour favoriser le rétablissement du syndrome de l’intestin irritable (trouble chronique et neuroplastique)
💡 Psychoéducation – les bases
Comprendre les mécanismes neuroplastiques du SII, déconstruire les croyances limitantes, distinguer danger réel et fausse alarme.
🧘 Gestion du système nerveux et régulation émotionnelle
Techniques de calme du système nerveux, messages de sécurité, gestion du stress post-traumatique, expression émotionnelle libératrice.
🧠 Outils PRT, EAET et approche Sarno
Réattribution des signaux du corps, développement de l’auto-compassion, exposition graduée, libération des émotions réprimées.
🚶 Reprise d’activité progressive et confiante
Sortir de l’évitement, dépasser la peur des troubles intestinaux, restaurer la confiance en sa capacité à fonctionner normalement.
🤝 Accompagnement personnalisé
Soutien individualisé, exercices adaptés, ressources pour consolider les apprentissages et retrouver une vie pleine d’énergie et de dynamisme.
Découvrir l’approche.
🎁 Gratuit, pour vous :
- ✅ L’auto-test « Souffrez-vous de douleurs neuroplastiques ? »
- ✅ Un guide PDF avec méthodes spécifiques pour le syndrome de l’intestin irritable
- ✅ Des conseils apaisants que je ne partage qu’avec mes inscrits
🔬 Mon cadre et mes engagements
Je m’appuie sur les dernières recherches scientifiques sur le syndrome de l’intestin irritable (et côlon irritable) : approches neuroplastiques, thérapies émotionnelles, gestion du stress post-traumatique et techniques de régulation du système nerveux.
🔬 Sources scientifiques clés
- [1] Association internationale de médecins – Irritable Bowel Syndrome – Symptomatic
- [2] Reconnaître le syndrome de l’intestin irritable (ou colopathie fonctionnelle) – Ameli – Assurance Maladie
- [3] Les causes du syndrome du côlon irritable – Vidal
- [4] « Le Ventre, notre deuxième cerveau », Sciences et Avenir, no N°784, juin 2012,
- [5] Serotonergic Mechanisms Regulating the GI Tract: Experimental Evidence and Therapeutic Relevance » – PubMed
- [6] Troubles de l’interaction intestin-cerveau et Troubles fonctionnels gastro-intestinaux – MSD manuals
- [7] Le Syndrome de l’Intestin Irritable – Les traitements complémentaires – APSSII – Association des patients souffrant du Syndrome de l’Intestin Irritable
- [8] The gut-brain connection: What the science says. Tompa, R. (2025, March 6) – Stanford Medicine
- [9] Liens confirmés entre les syndromes douloureux chroniques (TMS, fibromyalgie, syndrome de fatigue chronique, céphalées, syndrome du côlon irritable, endométriose et douleurs lombaires). IASP – PAIN – 2024
- [10] Étude – Guérir de troubles neuroplastiques chroniques est possible – Jama network 2023
- [11] Quand consulter un médecin – Manuels MSD
- [12] Voir plus d’études et d’analyses dans ma revue scientifique ici
- [13] Comment le stress psychologique provoque-t-il des troubles digestifs ? – Inserm
⚠️ Quand consulter un médecin
Avant tout, il est important de consulter rapidement dans ces situations :
- Sang dans les selles ou selles noires
- Perte de poids inexpliquée et importante
- Fièvre persistante accompagnant les troubles digestifs
- Douleurs abdominales intenses et soudaines
- Vomissements persistants ou impossibilité de s’alimenter
- Changement brutal des habitudes intestinales chez une personne de plus de 50 ans
- Antécédents familiaux de cancer colorectal ou maladie inflammatoire
- Anémie ou fatigue extrême inexpliquée
- Symptômes nocturnes qui vous réveillent
- Doute sur le diagnostic
- Aggravation inhabituelle ou anxiété importante
- Avant d’entreprendre toute approche neuroplastique
En cas d’urgence ou de symptômes alarmants, consulter immédiatement. Par ailleurs, un suivi médical permet d’écarter les causes secondaires et d’adapter l’accompagnement. [11]
🤸♂️ Faire le premier pas en sécurité
Si vous vous reconnaissez dans ces symptômes, sachez qu’il existe un chemin vers le rétablissement. En effet, l’accompagnement bienveillant, les outils neuroplastiques et une compréhension claire des mécanismes sont les clés pour sortir du cercle vicieux du syndrome de l’intestin irritable.
- Réservez directement un appel d’évaluation et d’orientation
- Téléchargez les ressources gratuites ci-dessous pour enfin mieux comprendre les signaux de votre corps et comment agir pour votre bien-être.
🎁 Gratuit, pour vous :
- ✅ L’auto-test « Vos symptômes sont-ils neuroplastiques ? »
- ✅ Un guide PDF avec la méthode et les exercices pour soulager votre intestin irritable
- ✅ Des conseils apaisants que je ne partage qu’avec mes inscrits
Article écrit par :
Liens utiles vers d’autre conditions associées : fatigue chronique, céphalées et migraines, Covid Long, fibromyalgie, mal de dos neuroplastique, approche neuroplastique.
Cet article ne remplace pas un avis médical professionnel. En cas de nouveaux symptômes, consultez votre médecin. La poursuite des traitements prescrits est recommandée.
💬 Vous trouverez sur cette page les termes souvent entendus concernant le syndrome de l’intestin irritable d’origine neuroplastique :
– Ballonnements abdominaux, flatulences excessives, gaz intestinaux
– Spasmes intestinaux, crampes abdominales, douleurs pelviennes
– Diarrhée fonctionnelle, constipation chronique, alternance transit
– Syndrome du côlon spastique, troubles digestifs fonctionnels
– Colopathie fonctionnelle, troubles motricité intestinale
– Hypersensibilité viscérale, hypervigilance digestive
– Stress et anxiété digestive, troubles psychosomatiques
– Régime d’éviction, intolérance alimentaire, FODMAP
– Microbiote intestinal, dysbiose, probiotiques
– Antispasmodiques, régulateurs transit
– Fluctuations symptomatiques et symptômes neuroplastiques
💬 Vous trouverez sur cette page les termes souvent entendus pour se rétablir du syndrome de l’intestin irritable et du côlon irritable :
– Approche neuroplastique
– PRT (Pain Reprocessing Therapy)
– EAET (Emotional Awareness and Expression Therapy)
– Rééducation du système nerveux
– Gestion du stress chronique
– Témoignages de rétablissement, success stories, retour à l’activité