Troubles musculosquelettiques (TMS) : comprendre et apaiser vos douleurs neuroplastiques

Mis à jour le 07 octobre 2025

Les troubles musculosquelettiques (TMS) représentent aujourd’hui la première cause de morbidité liée au travail en France et dans le monde. En fait, près de 60% des femmes et plus de 50% des hommes déclarent des douleurs liées aux TMS du dos ou du membre supérieur. Ces chiffres impressionnants révèlent l’ampleur d’un problème qui touche profondément la vie professionnelle et personnelle. [1]

Cependant, ce qui rend ces troubles particulièrement déroutants, c’est que la même activité ne provoque pas toujours la même douleur, les examens sont souvent normaux, et les traitements classiques apportent rarement un soulagement durable. Heureusement, les approches neuroplastiques offrent une compréhension nouvelle et des solutions concrètes pour les troubles musculosquelettiques TMS.

Ainsi, l’approche neuroplastique s’adresse aux personnes déjà suivies médicalement et vise à reprendre du pouvoir sur ces symptômes grâce à l’éducation, la régulation du stress et, surtout, sur des outils inspirés de la neuroplasticité, de la Pain Reprocessing Therapy et de l’EAET.

Important : mon coaching ne remplace pas un avis médical. En cas de nouveaux symptômes, d’aggravation ou de doute, je vous invite à consulter un professionnel de santé et à toujours poursuivre vos traitements.

Troubles Musculosquelettiques TMS - troubles neuroplastiques

Ce que les personnes souffrant de TMS décrivent souvent [2] [3]

  • Douleurs fluctuantes qui varient selon le stress, la charge de travail ou les pensées anxieuses
  • Symptômes récidivants malgré les périodes de repos et les traitements physiques
  • Douleurs qui se déplacent : quand une zone s’améliore, une autre commence à faire mal
  • Tensions musculaires persistantes même après étirements, massages ou repos prolongé
  • Gênes augmentées par certains gestes répétitifs au travail, mais pas systématiquement
  • Examens médicaux normaux ou révélant des anomalies courantes pour l’âge (hernie discale, arthrose légère)
  • Peur de se blesser davantage qui limite progressivement les activités professionnelles et personnelles

En effet, vous l’aurez compris, ces manifestations sont courantes dans les TMS, où le système nerveux peut amplifier les signaux normaux et où le contexte psychologique joue un rôle majeur dans l’intensité perçue.

Les appellations des troubles musculosquelettiques selon les pays

Les TMS portent différents noms selon les contextes et les pays :

  • TMS : Troubles Musculosquelettiques (en français, à ne pas confondre avec TMS Tension Myoneural Syndrome en anglais !)
  • RSI : Repetitive Strain Injuries (blessures de contrainte répétitive)
  • LATR : Lésions Attribuables au Travail Répétitif
  • MSDs : Muskuloskeletal Disorders
  • WMSD : Work-related Musculoskeletal Disorder
  • CTD : Cumulative Trauma Disorders
  • OOS : Occupational Overuse Syndrome

C’est ainsi que cette diversité de termes reflète bien la complexité et l’universalité de ces troubles.

L’ampleur des TMS en France : des chiffres qui parlent

En France, les troubles musculosquelettiques constituent 88% des maladies professionnelles reconnues par le régime général, avec 44 492 cas en 2019. [3] D’ailleurs, ces affections ont entraîné la perte de plus de 11 millions de journées de travail en 2021. [5]

Au niveau économique, les TMS engendrent une perte annuelle de plus de 7 milliards d’euros pour l’économie française en raison de l’absentéisme, des arrêts de travail et des frais de soins médicaux. [6]

Les localisations les plus fréquentes des TMS

Dans un premier rapport en 2017, l’assurance maladie montrait cette première répartition.

Source : Rapport annuel 2017. L’Assurance Maladie – Risques professionnels.

Mais selon les données, plus récentes et plus complètes, de Santé publique France, en 2024, [3] :

  • Lombalgies : les troubles du dos les plus couramment rapportés, 47 % chez les femmes et 40 % chez les hommes.
  • TMS de l’épaule : les plus fréquents parmi les troubles du membre supérieur
  • Syndrome du canal carpien : particulièrement présent chez les travailleurs sur écran
  • Épicondylite : touchant le coude
  • Cervicalgies : douleurs au niveau du cou

Les facteurs de risque du TMS : une approche multifactorielle

Facteurs biomécaniques du TMS

Les principaux facteurs de risque biomécaniques identifiés par l’INRS [5] incluent :

  • Les efforts physiques : port de charges lourdes, préhension d’outils
  • Les postures contraignantes : bras au-dessus des épaules, flexion prolongée du tronc, posture assise statique
  • La répétitivité des gestes : sollicitation continuelle des mêmes structures anatomiques

Cependant, ce qui est fascinant, c’est que ces facteurs physiques n’expliquent pas tout. En effet, pourquoi certaines personnes développent-elles des TMS dans des conditions identiques à d’autres qui n’en développent pas ?

Facteurs psychosociaux du TMS

Les facteurs psychosociaux renvoient au contenu du travail, à son organisation et à la façon dont tout cela est vécu :

  • Niveau d’intensité et de complexité du travail, temps de travail et horaires
  • Niveau d’exigence émotionnelle
  • Autonomie dans le travail limitée
  • Qualité des rapports sociaux dégradée
  • Niveau de sécurité de l’emploi précaire

D’ailleurs, les facteurs psychosociaux peuvent être sources de stress. Les effets du stress en lien avec les TMS sont multiples : le tonus musculaire s’accroît, les forces de serrage augmentent, et le temps de récupération s’allonge.

Facteurs individuels du TMS

Les personnes souffrant de symptômes neuroplastiques, commes les troubles musculosquelettiques TMS, partagent souvent certains traits :

  • Autocritique excessive et perfectionnisme
  • Faible estime de soi et négligence de ses propres besoins
  • Fiabilité et attention aux détails, travail acharné
  • Recherche d’approbation constante
  • Style de vie stressant et faible assertivité
  • Anxiété, dépression ou événements traumatiques
  • Adversité dans l’enfance

En effet, ces traits peuvent prédisposer à une sensibilité accrue du système nerveux et à une tendance à l’hypervigilance.

Le modèle moderne bio-psycho-social pour les TMS

Enfin, depuis 2017, ce modèle moderne permet d’intégrer ces différents facteurs et de gérer les troubles musculosquelettiques (TMS) grâce aux approches neuroplastiques de type Douleurs&Cerveau (aussi appelées MindBody). Désormais, on sait que la douleur est modulée par, au moins, ces 3 facteurs. Premièrement, l’aspect social avec notamment les relations. Deuxièmement, le biologique avec l’âge, le genre, ou encore la génétique. Troisièmement, le psychologique avec les émotions et les croyances.

L’approche par étapes pour les TMS (troubles musculosquelettiques) : du physique au neuroplastique

Les approches modernes recommandent au départ de déstresser et d’améliorer l’utilisation de la zone douloureuse. Par conséquent, on commence généralement par :

  1. Changements ergonomiques : adapter le poste de travail
  2. Mesures physiques externes : étirements et massages
  3. Solutions neuroplastiques : approches psycho-corporelles (PRT, EAET)

Cette progression logique respecte le besoin de sécurité tout en ouvrant progressivement vers des solutions plus durables.

Comment les approches neuroplastiques peuvent aider à soulager les troubles musculosquelettiques (TMS)

Premièrement, la PRT aide à rééduquer les circuits neuronaux de la douleur, permettant au cerveau de désactiver les fausses alarmes. Cette approche reconnaît que beaucoup de TMS résultent d’un système d’alarme hypersensible plutôt que d’une lésion tissulaire.

Deuxièmement, l’EAET permet de libérer les émotions refoulées – notamment la colère légitime et la frustration – qui maintiennent les tensions musculaires chroniques. Cette approche reconnaît le lien entre émotions non exprimées et douleurs physiques.

Troisièmement, l’éducation à la neuroscience de la douleur. En fait, il s’agit de comprendre que la douleur est un signal d’alarme du cerveau plutôt qu’un indicateur de lésion tissulaire change radicalement la relation à la douleur et permet de réduire la peur qui l’amplifie. Pour approfondir, voir l’article dédié au Syndrome de Tension Myoneuronal.


Ce que disent les Dr Sopher et Dr Sarno sur les TMS

Dans son livre de référence, le Dr John Sarno écrit :

« Les symptômes sont attribués à des tâches répétitives, comme le travail sur un clavier d’ordinateur. Dans de nombreux cas, l’atteinte musculaire, nerveuse et tendineuse est combinée avec des symptômes au niveau du cou, des épaules, des bras et des mains, souvent bilatéraux. Les patients se plaignent de douleur, d’engourdissement, de picotements et de faiblesse, invariablement déclenchés ou aggravés par leurs tâches professionnelles… Sans la connaissance du Tension Myoneuronal Syndrom, il serait impossible d’expliquer ces symptômes. »

Source : The Mindbody Prescription – Dr John Sarno

Le Dr Marc Sopher ajoute avec humour :

« Un clavier ne peut causer de l’inconfort que s’il tombe d’une grande hauteur ! »

Source : To Be or Not To Be Pain Free – Dr Marc Sopher

Témoignages : des rétablissements inspirants
d’anciens souffrants de TMS

Des centaines de témoignages documentés montrent des rétablissements remarquables de TMS – troubles musculosquelettiques – grâce aux approches neuroplastiques.

Forest souffrait de TMS (RSI) depuis l’adolescence. Initialement sceptique sur Sarno, il a finalement décidé d’essayer après avoir lu des témoignages de réussite. Il s’est rétabli et a créé le TMS Wiki pour aider d’autres personnes.

« Deux semaines après avoir lu The Mindbody Prescription, je tapais complètement sans douleur. En mars 2010, cela faisait plus de 13 mois que je n’avais pas ressenti de douleur en tapant. Je peux taper autant que je veux, dans n’importe quelle position non ergonomique, sur n’importe quel clavier, sans aucune douleur. Ce qui est extraordinaire dans ce rétablissement, c’est que les changements que j’ai mis en œuvre étaient entièrement psychologiques. »

Aaron Iba

Pendant deux ans, j’ai souffert d’une douleur incroyable qui s’est développée dans mes bras après une utilisation intensive de l’ordinateur et plus tard dans mes genoux. Pendant la plupart de ces 2 années, je n’ai pas pu travailler… J’ai accepté l’approche de Sarno et l’ai appliquée. Après quelques semaines, j’ai vu une grande différence… En 3-4 mois, j’étais pratiquement sans douleur, capable de faire toutes les choses que j’avais appréciées auparavant : jouer du piano, tricoter, soulever, faire du yoga, faire de l’exercice, travailler, etc« 

Lene X.

Ce que je propose pour favoriser le rétablissement des troubles musculosquelettiques (neuroplastiques)

💡 Évaluation et éducation

Évaluer, Comprendre comment le stress, les exigences professionnelles et les tensions émotionnelles maintiennent le système d’alarme musculaire hyperactif, et comment le cerveau peut se reconditionner.

🧘 Régulation des émotions et du stress au travail

Outils de régulation du système nerveux. Réévaluation des croyances sur les gestes « dangereux ». Reconnaître la colère légitime, ou le sentiment d’injustice au travail. Trouver des voies d’expression saines plutôt que somatiques.

🧠 Outils PRT, EAET et approche du Dr Weekes

Sortez du cercle vicieux peur <-> symptômes. Reconditionnement. Renforcement de votre sécurité intérieure.

🚶 Désensibilisation progressive et reprise

En respectant votre rythme, retrouver le plaisir des relations, des rituels quotidiens, et reprenez confiance même dans vos mouvements redoutés. Gérez vos peurs de récidive. Communiquez avec l’employeur et la médecine du travail.

🤝 Accompagnement personnalisé

🎁 Gratuit, pour vous :

  • ✅ L’auto-test « Souffrez-vous de Troubles Musculosquelettiques d’origine neuroplastique ? »
  • ✅ Un guide PDF avec méthodes spécifiques pour les TMS
  • ✅ Des conseils apaisants que je ne partage qu’avec mes inscrits

🔬 Mon cadre et mes engagements

Je m’appuie sur les dernières recherches scientifiques sur les troubles musculosquelettiques TMS : approches neuroplastiques, thérapies émotionnelles, gestion du stress et techniques de régulation du système nerveux.

🔬 Sources scientifiques clés

  • [1] Baromètre de Santé publique France 2021 : « 3 femmes sur 5 et 1 homme sur 2 déclarent des douleurs liées aux TMS »
  • [2] Symptômes, diagnostic et évolution des troubles musculo-squelettiques – Ameli.fr
  • [3] Maladies et traumatismes > Maladies liées au travail > Troubles musculo-squelettiques – Santé publique
  • [4] Possible Stress-Induced Conditions – Sirpa
  • [5] Risques TMS Troubles musculosquelettiques Statistiques – INRS
  • [6] Les TMS, leur coût économique et l’impact de la sédentarité – Wellness Prevention
  • [7] Étude – Guérir de troubles neuroplastiques chroniques comme l’anxiété est possible – Jama network 2023
  • [8] Troubles musculo–squelettiques liés au travail (TMSLT). – Centre canadien d’hygiène et de sécurité (CCHST).
  • [9] Quand consulter un médecin – Manuels MSD
  • [10] Voir plus d’études et d’analyses dans ma revue scientifique ici

⚠️ Quand consulter un médecin

Avant tout, il est important de consulter rapidement dans ces situations :

  • Apparition brutale de douleur intense après un traumatisme
  • Perte de force soudaine et importante
  • Engourdissement progressif ou paralysie
  • Douleur accompagnée de fièvre inexpliquée
  • Gonflement important et rapide d’une articulation
  • Déformation visible d’un membre
  • Douleur nocturne intense sans lien avec le mouvement
  • Perte de poids inexpliquée accompagnant les douleurs
  • Antécédents de cancer ou maladie inflammatoire
  • Avant d’entreprendre toute approche neuroplastique

En cas de doute ou d’aggravation inhabituelle, consulter reste toujours la meilleure option. [10] Par ailleurs, un suivi médical permet d’écarter les causes secondaires et d’adapter l’accompagnement.


Questions fréquentes sur les TMS – Troubles MusculoSquelettiques (prisme neuroplastique)

Mes TMS sont-ils vraiment liés au travail répétitif ?

Partiellement. En effet, les gestes répétitifs peuvent être un déclencheur, mais ils n’expliquent pas toujours pourquoi la douleur persiste après le repos, ni pourquoi elle fluctue selon le stress. L’approche neuroplastique reconnaît le rôle du contexte psychologique des Troubles Musculosquelettiques – TMS.

Puis-je continuer à travailler avec des TMS ?

Dans certains cas, oui. En fait, le repos prolongé peut paradoxalement aggraver la peur du mouvement et la sensibilisation centrale. L’objectif est de reprendre progressivement l’activité tout en travaillant sur les aspects neuroplastiques des troubles musculosquelettiques TMS. Seul votre médecin est habilité à prendre cette décision avec vous.

Mes examens sont normaux, pourquoi ai-je si mal ?

C’est une question essentielle. En effet, l’absence d’anomalie structurelle significative suggère fortement que le système nerveux amplifie les signaux normaux. C’est précisément dans ces situations que l’approche neuroplastique est la plus efficace pour les troubles musculosquelettiques TMS.

Dois-je changer d’emploi ?

Pas nécessairement. Cependant, si votre travail implique des facteurs psychosociaux toxiques (harcèlement, charge excessive chronique, absence totale d’autonomie), il peut être pertinent de l’évaluer avec un accompagnement adapté.

L’ergonomie ne sert à rien alors ?

Au contraire, l’ergonomie reste importante pour le confort. Cependant, elle ne suffit généralement pas à elle seule quand la composante neuroplastique est présente. L’idéal est de combiner bon sens ergonomique et approche neuroplastique adaptée aux troubles musculosquelettiques TMS.

Combien de temps pour me rétablir de troubles musculosquelettiques TMS (avec les approches neuroplastiques) ?

Chaque situation est unique, et la durée de rétablissement est variable. Par exemple, certaines personnes ressentent une amélioration significative en quelques semaines. Alors que d’autres ont besoin de 2 à 4 mois. La régularité des pratiques neuroplastiques compte plus que l’intensité.

Puis-je éviter une reconnaissance en maladie professionnelle ?

Cette question relève du droit du travail et de la médecine du travail. L’approche neuroplastique ne remplace pas ces démarches mais peut vous aider à retrouver votre capacité de travail plus rapidement.

Et si j’ai peur de me blesser à nouveau ?

Cette peur est naturelle et fait partie du tableau. Une partie du travail consiste justement à progressivement nous rééduquer vis-à-vis de cette peur, par exposition graduelle, dans un cadre parfaitement sécurisé. A cela s’ajoute d’autres techniques spécifiques. Comme par exemple, des messages de sécurité au cerveau, etc.

📚 Définitions rapides – micro glossaire sur les troubles musculosquelettiques (troubles neuroplastiques)

  • TMS : Troubles Musculosquelettiques, affections des muscles, tendons, nerfs et articulations
  • RSI : Repetitive Strain Injuries, lésions de contrainte répétitive
  • Syndrome du canal carpien : compression du nerf médian au poignet
  • Épicondylite : inflammation des tendons du coude (tennis elbow)
  • Tendinite : inflammation d’un tendon
  • Bursite : inflammation d’une bourse séreuse
  • Lombalgie : douleur au bas du dos
  • Cervicalgie : douleur au niveau du cou
  • Ergonomie : adaptation du travail à l’homme
  • Facteurs biomécaniques : contraintes physiques sur le corps
  • Facteurs psychosociaux : aspects organisationnels et relationnels du travail
  • Sensibilisation centrale : amplification des signaux douloureux par le système nerveux
  • Approche neuroplastique : reconditionnement du système nerveux par éducation et outils pratiques
  • PRT : Pain Reprocessing Therapy, thérapie de reconditionnement de la douleur
  • EAET : Emotional Awareness and Expression Therapy, libération des émotions refoulées

🤸‍♂️ Faire le premier pas en sécurité

Si vous vous reconnaissez dans ces symptômes, sachez qu’il existe un chemin vers le rétablissement. En effet, l’accompagnement bienveillant, les outils neuroplastiques et une compréhension claire des mécanismes sont les clés pour sortir du cercle vicieux des douleurs liées aux TMS.

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🎁 Gratuit, pour vous :

  • ✅ L’auto-test « Vos symptômes sont-ils neuroplastiques ? »
  • ✅ Un guide PDF avec la méthode et les exercices pour soulager vos TMS
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