Les douleurs chroniques : définition, gestion, solutions

Écrit par Vincent Daviet

Mis à jour le 14 octobre 2024

On a souvent l’impression que la douleur nous tombe dessus par hasard ou par malchance. On se demande pourquoi nous. Alors qu’on persévère et essaie tant de traitements, de soins alternatifs, d’appliquer tous les conseils médicaux et de nos proches. Pendant que, par définition, la douleur chronique nous use avec le temps qui passe. Mais pourquoi donc, chez nous, cela ne passe pas ? Alors que, chez d’autres, les douleurs disparaissent facilement ? Si vous êtes le genre de personne qui se bat pour son mieux-être et pour se rétablir de ses douleurs, cet article va vous aider à mieux comprendre votre douleur :

  1. Il vous faut démarrer par une bonne compréhension générale de votre santé.
  2. Puis découvrir comment appréhender la douleur avec un modèle moderne (très simplifié pour qu’il soit actionnable, je vous rassure).
  3. Et enfin, rentrer dans les particularités de la douleur devenue chronique, et de ses origines possibles (3 types) qui vous révéleront de nouveaux leviers d’action.

1. Mieux gérer sa santé

Qu’est-ce véritablement que la santé

On a tendance à l’oublier quand on souffre, en particulier de douleur chronique, mais la définition de la santé est bien plus que l’absence de problèmes physiques. D’ailleurs, même la toute-puissante Organisation Mondiale de la Santé la définit ainsi en 1946 : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».

Je suppose qu’un jour l’OMS révisera sa définition de la santé. Personnellement, je préfère la définition suivante, car elle est un peu plus moderne, orientée vers les solutions, et en phase avec les nouvelles découvertes scientifiques et médicales.

« La santé est la capacité à s’adapter et à se prendre en charge face à des problèmes physiques, émotionnels et sociaux. »

How should we define health? – Huber M et al., BMJ, 343:235-7, en 2011

4 principes de votre santé

Votre santé peut intégrer 4 dimensions. Elles agiront en synergie pour restaurer et développer votre mieux-être, et pour faire face aux difficultés de la vie.

1) Globale : dite holistique 🧘
Pour englober le physique, le mental et le social.

2) Personnalisée : 🤳
Avec le caractère unique de chacun : histoire, besoins, objectifs.

3) Participative : 💪
Agir pour sa santé et sa résilience, se sentir responsable.

4) Dynamique : ⬆️
Avec des évolutions mesurables : corps, esprit, mieux-être.

Les actions santé

Évidemment, la santé n’est pas juste une somme de principes socles. C’est une réalité pour laquelle nous sommes tous amenés à travailler pour la maintenir et l’améliorer. 4 types d’actions complémentaires sont possibles.

2 niveaux de socles :
- Globale et Dynamique
- Personnalisée et Participative3 niveaux supérieurs d'actions :
- Prévention
- Maintien et Rétablissement
- Bien-être
La pyramide de la santé avec 4 principes et 4 actions
  • La prévention consiste à adopter des habitudes saines pour éviter l’apparition de problèmes de santé. 🥗 Par exemple :
    • Avoir une alimentation équilibrée et de qualité. Éviter les drogues et l’alcool.
    • Pratiquer une activité physique régulière (marche, course, natation, etc.).
    • Faire des bilans de santé réguliers. Se vacciner.
  • Le maintien permet de conserver un bon état de santé en adoptant un mode de vie sain au quotidien. 🍃 Par exemple :
    • Avoir un sommeil réparateur de 7 à 9 heures par nuit.
    • Savoir se poser, méditer, respirer, faire du yoga, bien dormir.
    • Maintenir une vie sociale épanouie.
  • Le rétablissement, c’est retrouver la santé après une maladie, une blessure, une douleur ou un autre problème de santé. 🌺 Par exemple :
    • Suivre les avis médicaux et prendre les traitements prescrits (médicaments, chirurgie, rééducation en kinésithérapie, séances de psychologue). Avoir un suivi régulier pour contrôler l’évolution.
    • Adopter une alimentation riche en nutriments ou supplémentée.
    • Maintenir un moral positif et un entourage bienveillant
  • Le développement d’un état de bien-être. ☀️Par exemple :
    • Pratiquer des activités qui vous procurent du plaisir et de l’accomplissement (loisirs, voyages, relations chaleureuses et bienveillantes).
    • Développer une connaissance de soi par l’introspection, le développement personnel, la spiritualité.
    • Avoir des objectifs de vie stimulants qui donnent un sens à votre existence.

En bref, les actions possibles sont très vastes et elles toucheront forcément tout notre être en profondeur. Notamment en améliorant la découverte de soi, l’éducation et la formation, en redevenant responsable de nos comportements. 🙏 D’ailleurs, à ce stade, un accompagnateur externe peut vous être utile.

Est-on responsable de sa santé ?

Juste un mot sur la responsabilisation, car, parfois, certains ont l’impression d’être jugés, et qu’ils devraient culpabiliser de ne pas guérir. Ce n’est pas du tout le cas, rassurez-vous.

🔑 Se responsabiliser dans le domaine de la santé signifie prendre conscience que nos choix et nos comportements ont un impact direct sur notre bien-être physique et mental. Cela implique d’être un acteur de sa propre santé au quotidien selon ses moyens et ses possibilités du moment. En fait, c’est être une partie prenante active au sein de votre équipe de professionnels de santé. En clair, on ne peut pas tout attendre du monde médical, sans un investissement personnel minimum. Se responsabiliser, ce n’est pas se culpabiliser, mais simplement reconnaître que nous avons un certain pouvoir d’action sur notre santé par nos décisions et nos habitudes de vie. Quelques exemples concrets pour prendre ses responsabilités :

  • Respecter les traitements et suivis médicaux prescrits
  • Adopter une hygiène de vie saine (alimentation, sommeil, bouger, etc.)
  • Éviter les comportements à risque (tabac, alcool, etc.)
  • Pratiquer l’écoute de son corps et de ses besoins (douleurs, fatigue, etc.)
  • Développer ses connaissances en santé et prévention
  • Améliorer son bien-être : activités, loisirs, développement personnel, etc.

💡 Ainsi, ce n’est pas une nouveauté, nous nous responsabilisons déjà tous intuitivement à certains niveaux (se couvrir en cas de courant d’air, boire une tisane après un repas copieux, etc.). Mais se responsabiliser pleinement demande d’aller plus loin en faisant des choix réfléchis et en adoptant un mode de vie globalement favorable à la santé. 🧠 Un accompagnateur extérieur (proche, médecin, thérapeute, coach, etc.) peut se révéler un précieux allié.

Les bénéfices sur notre santé et notre vie

Pourquoi faisons-nous tout cela ? Au-delà de simplement chercher à se maintenir en vie. Le sens me parait beaucoup plus profond. Bien entendu, cela sera très personnel à chacun, mais on peut tenter d’imaginer une base commune d’intentions universelles :

  • un meilleur équilibre de vie ⚖️
  • un meilleur équilibre physique, mental et émotionnel 🧠💗🏋️‍♀️
  • une conscience et des pensées alignés avec nos valeurs et nos buts 🎯
  • des changements durables acquis en autonomie 🚶

2. Mieux comprendre la douleur

L’ancien modèle de la douleur : BioMédical

En bref, avant, simplifié à l’extrême, l’ancienne définition de la douleur était :

Le corps est abimé.

Les concepts anciens de la douleur se basait sur 2 piliers :

  1. La douleur provient d’une anomalie de la structure, du corps.
  2. Elle est facilement observable par une lésion, ou par la déviance par rapport à la norme (par exemple : radios ou scanners).

Par conséquent le souffrant avait besoin d’un expert sachant médical « au-dessus du patient » . Le souffrant est considéré comme ignorant et passif d’un traitement décidé et prescrit par l’expert.

Mais cela n’expliquait pas les variations de la douleur en fonction du contexte, ou des émotions, ou les douleurs dans un membre fantôme. Pour en savoir plus, consultez le site de l’IMTP, avec Pierre Inchauspé, PT, ostéopathe, Msc.

Le modèle actuel de la douleur : BioPsychoSocial

Pendant ce temps-là, la place de la connaissance, de l’aidant et du souffrant évolue. Pour finalement aboutir à l’Evidence Based Medicine (Sackett et al). À partir de 1996, on commence à prendre en compte de nouvelles dimensions dans les douleurs : comme les valeurs et les préférences des souffrants. Cela n’a l’air de rien aujourd’hui, mais pour l’époque, c’est une petite révolution.

Dans cette mouvance, une dizaine d’années plus tard, apparaît le modèle biopsychosocial, en 2017. Désormais, on sait que la douleur est modulée par, au moins, ces 3 facteurs :

  • biologiques : âge, genre, génétique, réactions physiologiques, santé des tissus
  • psychologiques : émotions, mental, croyances et attentes
  • sociologiques : relations interpersonnelles, soutien social, statut socioéconomique
La douleur est modulée par, au moins, ces 3 facteurs :+ biologiques : âge, genre, génétique, réactions physiologiques, santé des tissus+ psychologiques : émotions, mental, croyances et attentes+ sociologiques : relations interpersonnelles, soutien social, statut socioéconomique
Le modèle de la douleur biopsychosocial de Gieldt, 2017

Définition actuelle de la douleur chronique et aigüe

Voilà pourquoi, la définition moderne de la douleur est désormais la suivante, révisée selon l’IASP en 2020. Grâce à laquelle les facteurs psychologiques et sociaux sont mieux mis en évidence.

Par définition, la douleur est une expérience sensorielle ou émotionnelle déplaisante, associée à une lésion réelle ou potentielle, ou ressemblant à une lésion réelle ou potentielle.

Task force on taxonomy of the International Association for the Study of Pain

Encore plus tard, les neurosciences viennent confirmer, expliquer, et décortiquer ces phénomènes complexes et interdépendants. Et elles vont prouver une découverte récente qui est complètement déconcertante : le cerveau peut créer de la douleur. Mettant en évidence, un tout nouveau type de douleur chronique (totalement aligné avec sa nouvelle définition).


3. Mieux définir et comprendre la douleur chronique pour choisir ses solutions de rétablissement

Comme toujours, je vous recommande de consulter votre médecin pour qu’il vous établisse un diagnostic précis et de toujours poursuivre vos traitements.

Caractériser sa douleur : chronicité et impact

Comment savoir si votre douleur est chronique ? On considère, par définition, une douleur chronique, au-delà de 3 mois de souffrance, à partir du 1er jour où elle s’est déclarée.

On considère une douleur chronique, au-delà de 3 mois de souffrance, à partir du 1er jour où elle s'est déclarée.

Maintenant, selon l’intensité de la douleur ressentie, elle peut être tout à fait acceptable. Ou à l’inverse, totalement invalidante. Parfois, elle oscillera entre les 2 sans raison apparente.

Selon l'intensité de la douleur ressentie, elle peut être tout à fait acceptable. Ou à l'inverse, totalement invalidante. Parfois, elle oscillera entre les 2 sans raison apparente.

Bien entendu, par définition, toutes les combinaisons sont possibles : des douleurs aigües invalidantes, une douleur chronique acceptable, la douleur chronique invalidante, etc.

La découverte d’un nouveau type de douleur chronique dit neuroplastique ou TMS

Nos neurones sont connectés les uns aux autres, formant des voies neuronales. La neuroplasticité, c’est notre cerveau qui est capable de se réorganiser et de former de nouvelles connexions neuronales tout au long de la vie.

Ces voies sont liées et influencées, entre autres, par nos mouvements, par le stress, par nos émotions, et par notre mémoire (Butler, D ave, and Lorim er M oseley. Explain Pain. N oigroup Publications, 2015)

  • Plus les voies neuronales sont utilisées, plus elles sont efficaces.
  • Vous pouvez créer des voies neuronales pathologiques et douloureuses.
  • Vous pouvez également créer de nouvelles voies neuronales rétablies.

D’où le développement d’un nouveau et 3ème type d’origine de douleur, dite neuroplastique ou nociplastique, ou encore TMS. Voir l’étude scientifique de 1994 et 2021 qui démontre les 3 types de douleur : Part III, Pain Terms, A Current List with Definitions and Notes on Usage – Classification of Chronic Pain, IASP Task Force on Taxonomy

👉 Pour aller plus loin, consultez l’article complet « Mieux comprendre la douleur neuroplastique TMS ».

Définition des 3 types de douleur chroniques

Donc, aujourd’hui on distingue 3 types de douleur, selon leur origine.

  1. La douleur nociceptive, qui « capte ».
    Elles est causée par une blessure à un tissu (muscle, tendon, peau) pour nous alerter d’un danger physique.
    Exemples : entorse de la cheville, bras cassé, coupure de la peau, ligaments croisés.
  2. La douleur neuropathique, qui « transmet ».
    Elle est causée par une blessure à un nerf.
    Exemple : un nerf sciatique comprimé et coincé.
  3. La douleur neuroplastique ou nociplastique, qui « traduit ».
    Elle est causée par un mauvais fonctionnement du système nerveux. C’est le nouveau type de douleur TMS mis en évidence par la science très récemment.
    Exemples : fibromyalgie, céphalées de tension, mal de dos – cou – épaules.
Classification des 3 types de douleur en bref dont les douleurs neuroplastiques (générée par le cerveau), selon une étude scientifique à Seattle de 1994 révisée en 2021. Source IASP-Pain.

Daniel J. Clauw et ses collègues (Clinical Journal of Pain, 2016) ont situé quelques syndromes de douleur chronique selon leur origine, sur une échelle progressive (de type continuum).

Chronic Pain Continuum – Fibromyalgia and Chronic Pain Syndromes (Clinical Journal of Pain, 2016)

Toutefois, les douleurs peuvent avoir des origines multiples. Ce qui complexifie l’analyse et la découverte d’une solution adaptée. Cette représentation sur 1 seule ligne n’est pas toujours la plus proche de la réalité du terrain. Il peut y avoir des chevauchements. Une douleur peut être nociceptive, et aussi neuropathique, et aussi neuroplastique.

Nouveau modèle de gestion de la douleur chronique

En combinant la nouvelle définition contemporaine de la douleur chronique et nos connaissances actuelles sur les 3 types de douleurs chroniques, nous pouvons établir ce nouveau modèle de gestion de la douleur chronique.

La douleur peut avoir 3 origines uniques ou cumulées : nociceptive, neuropathie, neuroplastique.
Cette douleur est influencée par les autres sources de douleurs et les facteurs uniques biologiques, psychologiques et sociaux.
Modèle moderne de Gestion de la Douleur Chronique, 2024

Une douleur qui traîne depuis des années a pu :

  • démarrer par une brûlure, une fracture, une lésion => douleur nociceptive,
  • générer des complications qui ont lésé des nerfs => douleur neuropathique,
  • provoquer des événements insécurisant et des changements majeurs dans notre vie entière =< douleur neuroplastique

Plus d’informations : vidéo du kinésithérapeute canadien Denis Fortier

Bien que ces types de douleurs influent les uns sur les autres, ils sont simultanément soumis à nos propres aspects biologiques, psychologiques et sociaux. À la fois, cela rend chaque situation très unique et complexe. Et en même temps, c’est une formidable quête sur soi-même. Surtout, cela révèle de nombreuses pistes d’améliorations que vous n’avez pas encore explorées, redonnant espoir, confiance, envie d’agir.

Notamment sur les aspects psychologiques et sociaux qui sont encore très insuffisamment pris en compte dans la prise en charge de nos douleurs chroniques. En particulier, et par définition, sur ce nouveau type de douleur chronique neuroplastique, le TMS.

Comme nous l’avons vu, différents types de douleur peuvent être à l’origine de vos souffrances. Voilà pourquoi, dans la majorité des douleurs chronique (>80%), on retrouve une composante majeure d’origine neuroplastique, avec notamment des facteurs psychologiques sur lesquels nous pouvons obtenir des améliorations durables.


Comment agir sur les 3 types de douleurs chroniques

Dans tous les cas, votre meilleur allié reste votre médecin généraliste. Continuez impérativement le dialogue avec lui, poursuivez vos traitements, et suivez ses avis.

Les douleurs de type 1, nociceptives, sont en général très bien diagnostiquées par les professionnels de santé et les examens classiques. D’ailleurs, les Occidentaux en sont les grands spécialistes. Je suis sûr que vous serez bien pris en charge.

Pour les douleurs neuropathiques, de type 2, elles sont parfois moins bien gérées. C’est pourquoi, vous pouvez vous faire aider par l’Association Francophone pour Vaincre les Douleurs AFVD.

Vous vous demandez si vous souffrez d’une douleur d’origine neuroplastique, de type 3 (aussi appelée TMS) ? Malheureusement, elles ne sont pas encore suffisamment connues par les professionnels de santé en France, même si bien présentes dans la Bible des médecins, le Vidal, depuis 2022. 👉 Voilà pourquoi, commencez par découvrir les 18 signes que vous pourriez souffrir d’un TMS.

S’il s’avère que c’est bien le cas, cela va vous surprendre, mais c’est en réalité une bonne nouvelle. En effet, le phénomène même de neuroplasticité qui l’a créé est réversible ! Il est de plus en plus connu, et des thérapies validées scientifiquement existent. D’autant que, bonus, c’est ma spécialité et la raison d’être de ce blog de vous aider.

Voici le type de solutions qui ont de très bons résultats dans la gestion des douleurs chroniques neuroplastiques TMS visant un rétablissement :

  • Apprendre comment la douleur TMS fonctionne 🧠
  • Identifier vos déclencheurs et leurs véritables sources 🔍
  • Travailler sur son attitude mentale, ses croyances, ses réactions 🧘
  • S’exposer graduellement aux situations évitées ⤵️

Oui, ces méthodes sont naturelles. Non, elles ne sont pas liées au corps. Mais plutôt à l’esprit, au mental. Grâce à la neuroplasticité, notre cerveau est capable de réapprendre de nouveaux chemins sans douleur chronique invalidante, comme le suggère la nouvelle définition de l’IASP.

Il faut trouver comment adapter ces enseignements à votre situation unique et complexe afin qu’ils soient bien intégrés. C’est un peu comme chercher à bien ajuster ces nouvelles pièces du puzzle de votre santé. 🧩 C’est alors que nous travaillons sur la rééducation de notre cerveau avec de petits exercices tout simples, mais puissants lorsqu’ils sont suffisamment répétés et exécutés correctement. 🏋️‍♀️

Nous redécouvrons des parties de nous-mêmes un peu enfouies, renouons avec nos activités évitées en douceur, reconnectons avec notre énergie et joie de vivre. Bref, nous pouvons retrouver une vie normale, et même finalement plus riche et consciente.

D’ici là, vous avez toute ma compassion et mes vœux de rétablissement.

Gratuit, pour vous :

💌 Des conseils apaisants que je ne partage qu’avec mes inscrits

🩺 L’auto-test « Souffrez-vous de douleurs neuroplastiques (TMS) ? »

📚 Un guide PDF de 26 pages avec la méthode et les exercices à faire chez vous.


Publié par Vincent Daviet

Hello ! Moi, c’est Vincent. Une École d'Ingénieur, et plus de 10 ans d'expérience en Coaching, m'ont amené à la création d’une entreprise. Ce que j’aime le plus, c’est essayer de m'améliorer dans les différentes sphères de ma vie et d'aider les autres. J'ai donc toujours été très curieux, je lis et j'apprends beaucoup. Afin de vous faire partager ma passion pour le développement personnel sous l'angle du rétablissement des douleurs chroniques, j'ai créé Soulager Douleurs. Je ne suis ni médecin, ni thérapeute. En toutes circonstances, veuillez consulter votre médecin et poursuivre vos traitements. Bonne lecture !

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